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Accusée de vol de sandwich, une hôtesse de l’air licenciée par EasyJet

Redigé par IGIHE
Le 17 janvier 2017 à 10:32

Hôtesse de l’air pour la compagnie aérienne EasyJet, Shannon Gleeson a été licenciée pour un motif des plus surprenants. Le 3 janvier 2015, après avoir embarqué pour un vol au départ de Schipol, aux Pays-Bas, la jeune femme alors âgée de 20 ans prend sa pause pour déjeuner. Allergique aux noix, elle ne peut se nourrir avec les produits réservés au personnel ce jour-là.
C’est finalement son manager qui lui vient en aide en lui apportant un sandwich au bacon à 4,50 livres sterling (environ 5,10 euros) avant (...)

Hôtesse de l’air pour la compagnie aérienne EasyJet, Shannon Gleeson a été licenciée pour un motif des plus surprenants. Le 3 janvier 2015, après avoir embarqué pour un vol au départ de Schipol, aux Pays-Bas, la jeune femme alors âgée de 20 ans prend sa pause pour déjeuner. Allergique aux noix, elle ne peut se nourrir avec les produits réservés au personnel ce jour-là.

C’est finalement son manager qui lui vient en aide en lui apportant un sandwich au bacon à 4,50 livres sterling (environ 5,10 euros) avant de se restaurer lui-même avec un croque-monsieur. Des plats normalement réservés aux passagers et que le manager de Shannon n’a vraisemblablement pas payés. Ce que la jeune hôtesse ignore, selon le Daily Mail.
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Aucune preuve selon le tribunal

La situation s’aggrave lorsqu’un des membres de l’équipage décide de porter plainte contre Shannon en l’accusant d’avoir mangé un sandwich volé. L’information remonte jusqu’à l’administration d’EasyJet qui ouvre une enquête et licencie Shannon et son manager pour “faute grave” et ”vol”. La compagnie estime que son employée aurait dû demander à son collègue un reçu justifiant du paiement de la nourriture.

EasyJet a qualifié Shannon Gleeson de “complice”. Cette dernière a répliqué en affirmant au Daily Mail qu’elle n’était “pas une voleuse” et qu’elle ne “[voulait] pas être assimilée à ça”. Au tribunal, le juge lui donnera finalement raison en déclarant que la société EasyJet aurait dû tenir un inventaire des stocks et que, en l’état, rien ne pouvait prouver le vol. Si les deux ex-employés n’ont pas été réintégrés dans la société, ils ont finalement réglé cette affaire en trouvant un arrangement avec la compagnie aérienne.

avec BFMTV.COM


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