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Référendum populaire : les Québécois disent non au cimetière musulman dans un climat de rejet de l’identité québécoise nauséabond

Redigé par
Le 25 juillet 2017 à 11:58

A une courte majorité, le projet de cimetière musulman a été heureusement rejeté par le public, mais il révèle l’écart qui se creuse entre les élites aveuglées par la stupidité idéologique et le bon sens de la population.
Le projet qui divise était initié par la société Harmonia et le Centre culturel islamique de Québec (CCIQ). Il avait recueilli un nombre suffisant de signatures en mai dernier pour obliger la municipalité à organiser une consultation populaire.
On peut saluer ce vecteur d’opinion (...)

A une courte majorité, le projet de cimetière musulman a été heureusement rejeté par le public, mais il révèle l’écart qui se creuse entre les élites aveuglées par la stupidité idéologique et le bon sens de la population.

Le projet qui divise était initié par la société Harmonia et le Centre culturel islamique de Québec (CCIQ). Il avait recueilli un nombre suffisant de signatures en mai dernier pour obliger la municipalité à organiser une consultation populaire.

On peut saluer ce vecteur d’opinion démocratique, mais il vient d’être décimé par le gouvernement libéral antidémocratique de Philippe Couillard, qui a fait adopter en juin le projet de loi 122, qui accorde plus de pouvoirs aux élus municipaux — et qui permettra notamment aux municipalités d’être exemptées de l’obligation de tenir ces référendums.

« Le spectre culpabilisant de l’islamophobie, du racisme ordinaire et du totalitarisme musulman pointe son nez dans les rapports officiels sur ce référendum » nous explique A.F.

Deux camps s’opposent : celui des intolérants qui collent l’étiquette raciste et islamophobe à ceux qui refusent le cimetière musulman, et celui des gens ouverts, qui se disent déçus que les autorités proposent des modifications culturelles et sociales aussi profondes qui divisent la population et mettent en danger leur identité et leur histoire.

C’est le cas de Sunny Létourneau, qui a milité contre le projet, et montre sa grandeur de cœur en regrettant un débat qui a déchiré la communauté.

« C’est extrêmement triste, c’est comme un couple qui se sépare, les gens n’ont jamais réussi à s’entendre, tout le monde est perdant dans une situation comme ça. »

Un cimetière multiconfessionnel aurait été une façon pour les musulmans de prouver qu’ils veulent s’intégrer. Mais ils ne veulent pas s’intégrer. Les islamo lucides le voient, les islamophiles leur disent que ce qu’ils voient n’existe pas. Les musulmans ont choisi un carré séparé qui exacerbe leur refus de s’insérer dans une culture occidentale que beaucoup d’entre eux refusent et rejettent comme étant haram – interdite et contraire à l’islam.

Mais il n’y a pas plus aveugle que l’islamophile qui ne veut pas voir. C’est le cas du maire de la ville.

Bernard Ouellet, maire de Saint-Apollinaire, a dit sa déception à l’annonce des résultats négatifs. L’homme se prononce clairement contre ses contribuables et pour la disparition à la française de l’identité québécoise.

L’islamisation à la française a deux caractéristiques parfaitement documentées que le Canada applique maintenant :

L’islamisation est progressive et avance à force de revendications constantes pour faire céder les digues de la démocratie au nom du bien vivre ensemble et du multiculturalisme, alors qu’il s’agit en réalité d’une séparation totale et hermétique qui tend vers le communautarisme de l’exclusion de la part des musulmans, et d’un rejet de ce que le coran nomme les mécréants : chrétiens et juifs.

L’islamisation se fait dans le déni total des élites et des médias.

Les personnes saines d’esprit sont déçues de la déception du maire – qui devrait afficher une totale neutralité. Le maire a cependant adopté une attitude honorable de dernier instant en refusant de recourir à la nouvelle loi Couillard : « les citoyens ont déjà subi les pressions répétées des deux camps depuis des mois », dit-il, et « ils en ont assez de tout ce débat ». Le maire ne se sent pas prêt à faire revivre cet épisode à ses concitoyens.

Créant un climat nauséabond, Sylvain Roy, le promoteur du centre funéraire Harmonia responsable du projet, était présent dans la salle lors du dévoilement des résultats. Il a déclaré se battre « contre le racisme ».

« Ils sont contre l’implantation d’une culture dans un milieu qu’ils veulent conserver 100 % québécois », avait-il déclaré.

Intolérant personnage. Comme s’il était mal de vouloir préserver sa culture, alors que c’est un honneur, une fierté. Roy sort les insultes racistes parce qu’il n’est pas capable d’affronter un débat et d’avoir une conversation entre personnes évoluées et éduquées (le prémisse est qu’« on ne discute pas avec les racistes »).

Refus de la démocratie

Qu’on garde en mémoire ce que les autorités tentent de cacher : la loi des hommes, donc la démocratie, n’existe pas pour l’islam, qui considère que la loi vient de leur Dieu. Ainsi, la semaine dernière, le défendeur musulman du projet de cimetière exclusivement musulman, le secrétaire du Centre culturel islamique de Québec, Mohamed Kesri, a exprimé le souhait que l’administration municipale ne tienne pas compte du résultat si celui-ci était négatif. (Le Devoir du 17 juillet 2017 – ledevoir.com)

« Il y a dans cette affirmation tout ce pour quoi nous devons nous opposer becs et ongles aux implantations sauvages de Mahomet en terre de liberté démocratique : si c’est oui, c’est « Vive la démocratie pro-Mahomet », si c’est non, c’est « Vive Mahomet sans la démocratie ». Donc totalitarisme à la Erdogan » ajoute A.F, notre correspondant local.

« Les gens ont dit non parce qu’ils ont peur, mais mon Dieu peur de quoi ? » lance Mohammed Kesri.

Je peux risquer quelques réponses pour Kesri :

Peur des attentats : presque tous les attentats sont commis par des musulmans au nom de leur dieu Allah. Et il ne se passe pas une seule journée sans qu’on apprenne qu’un attentat à été commis. Rien qu’aujourd’hui, il y en a déjà eu un en Israël près de Tel-Aviv et un à Kaboul en Afghanistan, et la journée n’est pas terminée.
Rejet du voile intégral et du foulard islamiques, marqueurs du désir de modifier la culture du pays d’accueil.

Refus de la sous-culture islamique essentiellement homophobe, liberticide, violente, qui rejette la démocratie, le droit de changer de religion, l’égalité entre les hommes et les femmes, qui ne tolère pas les autres religions, qui impose à la femme sa façon de s’habiller, qui dans plusieurs pays musulmans lui interdit de sortir seule dans la rue sans chaperon, de choisir son métier ou de conduire une voiture, et dans presque tous les pays musulmans, a des lois discriminatoires hommes/femmes sur l’héritage et le divorce.

Finalement, Kesri refuse la décision démocratique – cette attitude arrogante et suprémaciste aussi justifie la peur de l’islam, monsieur Kesri.

Kesri dit qu’il compte poursuivre ses démarches pour faire naître le cimetière musulman à Saint-Apollinaire malgré le vote. « Nous ne chercherons pas ailleurs et quitterons Saint-Apollinaire qu’une fois que la communauté musulmane nous dira c’est fini, retirez-vous », mentionne-t-il.

Des élites donneuses de leçon et déconnectées du réel

Dans un message du député Gabriel Nadeau-Dubois qui fait polémique en ce qu’il nie en bloc le terrorisme islamiste qui représente pourtant près de 100% des attentats, et justifie largement la peur de l’islam, le député refuse de voir que contrairement à toutes les immigrations, seule celle des musulmans pose problème dans tous les pays occidentaux. Le député de Gouin et porte-parole de Québec solidaire a en effet déclaré que « ceux qui menacent le vivre ensemble, ce sont plutôt les groupes et les individus qui profèrent des menaces, qui tentent d’intimider nos concitoyens et concitoyennes de confession musulmane ».

Ces propos scandaleux sont la tendance de fond parmi les élites qui vivent très loin des micro-agressions et agressions quotidiennes que subissent les gens qui n’ont d’autre choix que de vivre dans des quartiers devenus majoritairement musulmans.

Conclusion

En Europe, la partie est perdue, je le dis tel que je le ressens. Suicidaire celui qui s’accroche à l’amour de son pays : réveillez-vous, votre pays ne vous aime plus en retour, il travaille à votre disparition, ou alors avouez-vous masochiste.

Mais au Canada, vous ne perdrez la partie que si vous ne tirez pas les leçons de l’Europe. C’est entre vos mains. Comprenez qui sont vos ennemis : les médias et vos élites. Bougez-vous intelligemment, recrutez des stratèges de talent, organisez-vous, ou acceptez votre sort sans pleurnicher.

Et j’ai le déplaisir de vous rappeler ces vérités qui dérangent :

Vos deux meilleures armes sont d’une puissance formidable à condition que vous les utilisiez :

Prenez exemple sur les Israéliens, comme les juifs qui résistent merveilleusement aux siècles : faites des enfants. Beaucoup d’enfants. Plus d’enfants que les musulmans, sinon vous serez noyé par la démographie.

Remplissez les églises, les temples et les synagogues, donnez une éducation religieuse solide à vos enfants.

« L’histoire n’était pas terminée » a menacé Couillard

Si vous ne faites rien, observez que vos élus, eux, ne chôment pas. Couillard a déjà promis qu’il n’a pas dit son dernier mot. Si vous le réélisez, vous le ferez en connaissance de cause.

Le Premier ministre a en effet déclaré que l’« histoire n’était pas terminée » et qu’il voyait « clairement la nécessité pour le gouvernement de s’impliquer pour trouver une solution ». Autrement dit, il considère que les citoyens ne sont pas capables de décider de leur sort, et que le gouvernement doit prendre les décisions à leur place.

Pour bien vous montrer que les musulmans se servent de tous les prétextes possibles pour faire avancer leur projet d’islamisation progressive, rappelons qu’une partie du cimetière Les Jardins Québec, à Saint-Augustin-de-Desmaures a été réservée récemment aux musulmans. Et il se situe à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Québec…


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