Stupeur dans la ville. La légalisation et l’intégration des Wazalendo aux FARDC aura été une erreur fatale aux conséquences désastreuses. La prétendue solution miracle du gouvernement s’est avérée illusoire et s’est transformée en cauchemar pour la population de Goma.

L’intégration des milices anti-tutsi, Wazalendo aux FARDC, présentée comme le remède pour mettre fin à l’insécurité persistante dans l’Est de la RDC, s’est avérée être une erreur fatale aux conséquences désastreuses.

Cette décision, motivée par des sentiments de haine et de vengeance envers les tutsi, a plongé la ville de Goma dans un chaos encore plus profond.

Les Wazalendo, ces faux héros sont devenus de véritables bourreaux.

Loin d’être les sauveurs espérés, les Wazalendo se sont mués en bourreaux impitoyables, terrorisant la population civile avec des actes de violence et de barbarie inouïs. Meurtres, viols, pillages, extorsions : la liste des atrocités commises par ces milices est longue et effroyable.

La ville de Goma et ses environs vivent une situation sécuritaire en dégradation constante.

L’intégration des Wazalendo a entraîné une dégradation dramatique de la situation sécuritaire à Goma et dans ses environs. Les habitants vivent dans un climat de peur permanente, assiégés par ces milices incontrôlables.

La confiance envers les autorités s’est effondrée, laissant place à un sentiment de désespoir et d’abandon.

Et le gouverneur militaire, Général Cirimwami Nkuba ne sait pas expliquer cette psychose qui a envahi sa population.

Une chose est certaine, il y a comme un retournement du monstre contre son créateur.
Le gouvernement congolais, aveuglé par la haine, a créé un monstre qui s’est retourné contre son créateur. La population, autrefois favorable à cette intégration, réclame désormais l’intervention du M23, l’ennemi juré du gouvernement, comme seul espoir de salut.

L’expérience tragique des Wazalendo démontre l’inanité des solutions simplistes basées sur la haine et la violence.

La lutte contre l’insécurité dans l’Est de la RDC exige une approche globale et inclusive qui s’attaque aux racines profondes du conflit, tout en garantissant la protection des civils et le respect des droits humains.

Le cas des Wazalendo sert de tragique rappel que les discours de haine et les manipulations politiques ont des conséquences désastreuses. Il est impératif de promouvoir la paix, la réconciliation et le dialogue pour sortir de ce cycle infernal de violence.

Les autorités congolaises doivent assumer la responsabilité de leurs actes et prendre des mesures concrètes pour mettre fin aux exactions des Wazalendo.

L’intégration des Wazalendo aux FARDC constitue une erreur historique aux conséquences tragiques. Cette décision, guidée par la haine et la vengeance, a plongé l’Est de la RDC dans un chaos encore plus profond. Il est impératif de tirer les leçons de cette tragédie.

Malgré les épreuves traversées, l’espoir d’un avenir meilleur demeure pour la population de l’Est de la RDC.