Sans vraiment de surprise, deux semaines après avoir blanchi de toute accusation de violence à l’égard de ses enfants par les services de protection à l’enfance, le FBI a officiellement annoncé qu’il ne poursuivra pas son enquête contre l’acteur. En pleine procédure de divorce d’avec Angelina Jolie, Brad Pitt était soupçonné d’avoir porté la main sur son fils aîné, Maddox, 15 ans, lors d’un vol entre la France et les Etats-Unis, mi-septembre. C’est peu après cet incident présumé que l’actrice avait pris la décision de mettre un terme à leur mariage citant des "différends irréconciliables".

Privé de ses enfants pendant plusieurs semaines à la suite de ces accusations, Brad Pitt avait été autorisé à les revoir mais en présence de thérapeutes. Il se trouvait alors sous le coup d’une enquête de la part des services sociaux (DCFS) alors que le FBI avait aussi été invité à se prononcer sur les événements. Le 9 novembre, les premiers avaient conclu que le comédien n’avait pas maltraité son fils, aujourd’hui, c’est le FBI qui est arrivé à la même conclusion : "Le Bureau a passé en revue les circonstances de l’incident et a décidé ne ne pas poursuivre d’enquête", a-t-il précisé dans un communiqué.
La bataille pour la garde des enfants va reprendre

Une bonne nouvelle pour Brad Pitt qui souhaite coûte que coûte obtenir la garde partagée de Maddox, Pax, Zahara, Shiloh, et les jumeaux Vivienne et Knox, les six enfants qu’il a eus avec Angelina Jolie. Chose que combat fermement l’actrice qui, se disant soucieuse de leur bien-être, demande leur garde exclusive avec un droit de visite pour son futur ex-mari. Récemment, un accord temporaire sur leur garde a été prolongé en attendant la lumière soit faite sur les soupçons de violence qui pesaient sur la star d’Alliés. Les hostilités devraient donc se poursuivre dans les prochains

Avec grazia.fr