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Burundi : ’’Libérez Bob Rugurika, arrêtez les vrais coupables’’

Redigé par IGIHE
Le 10 février 2015 à 12:26

Les professionnels des médias et les membres de la Société civile ne cesseront jamais de demander la lumière sur l’assassinat des trois sœurs italiennes et de plaider pour la libération sans condition du Directeur de la RPA, Bob Rugurika. Dans une marche manifestation de soutien au Directeur de la RPA, les professionnels des médias, tant publics que privées, les membres des organisations de la société civile ainsi que certains étrangers vivant au Burundi, tous ont manifesté devant le Ministère de la (...)

Les professionnels des médias et les membres de la Société civile ne cesseront jamais de demander la lumière sur l’assassinat des trois sœurs italiennes et de plaider pour la libération sans condition du Directeur de la RPA, Bob Rugurika.

Dans une marche manifestation de soutien au Directeur de la RPA, les professionnels des médias, tant publics que privées, les membres des organisations de la société civile ainsi que certains étrangers vivant au Burundi, tous ont manifesté devant le Ministère de la justice, tenant en main les photos du Directeur de la RPA, Bob Rugurika ainsi que celles des trois sœurs italiennes Olga, Lucia et Bernadette. Sur les écrits, on pouvait lire :’’Libérez Bob Rugurika, arrêtez les vrais assassins et non les journalistes, On ne réclame que la vérité sur l’assassinat des trois religieuses de Kamenge’’.

Le Président de l’APRODH, Pierre Claver Mbonimpa qui avait pris part dans cette marche pacifique, a fait savoir qu’après l’assassinat des trois sœurs italiennes, la police a mené des enquêtes mais que leur rapport n’ont jamais sorti des placards. Selon le numéro un de l’APRODH, la justice devrait suivre la piste fournie par la RPA et ajoute qu’ils sont même a mesure de prêter mains fortes pour trouver les vrais auteurs de crime ignoble.

Rappelons que selon les informations diffusées sur les ondes de la RPA, une source anonyme avait révélé que l’ancien chef des services de renseignement, le Général Adolphe Nshimirimana, un agent de la police du nom de Kazungu et Ayubu ainsi que l’économe du Centre Jeunes Kamenge, Guillaume Harushimana, ont tous pris part dans la planification et l’exécution du plan d’assassinat des trois sœurs italiennes de la Paroisse Guido Maria Comforti de Kamenge.


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