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Grande Bretagne : Ruhumuliza, un pasteur rwandais sous investigation de génocide

Redigé par IGIHE
Le 16 février 2014 à 02:48

L’Eglise anglicane mène des investigations sur un possible passé génocidaire d’ un pasteur rwandais, Jonathan Ruhumuliza, officiant dans la paroisse de Worcestershire de Grande Bretagne.
L’Eglise en question déclare ne pas avoir été mise au courant de lourds soupçons de responsabilité dans le génocide des Tutsi de 1994 de la part de Jonathan quand il a été élevé au rang de dirigeant de la Paroisse de Woecestershire en 2005. Le quotidien britannique The Guardian rapporte que l’Eglise anglicane est (...)

L’Eglise anglicane mène des investigations sur un possible passé génocidaire d’ un pasteur rwandais, Jonathan Ruhumuliza, officiant dans la paroisse de Worcestershire de Grande Bretagne.

L’Eglise en question déclare ne pas avoir été mise au courant de lourds soupçons de responsabilité dans le génocide des Tutsi de 1994 de la part de Jonathan quand il a été élevé au rang de dirigeant de la Paroisse de Woecestershire en 2005.

Le quotidien britannique The Guardian rapporte que l’Eglise anglicane est peinée des accusations à l’encontre de Jonathan contenues dans un rapport des Droits de l’Homme. Il y est rapporté que le pasteur Ruhumuliza Jonathan était en complicité de commission de génocide des Tutsi de 1994 avec un autre pasteur poursuiivi par le TPIR Arusha.

Ruhumuliza qui dirige la paroisse St Mary and All Saints de Hampton Lovett dans le Worcestershire, est également recherché par la justice rwandaise.

Il est accusé de négationnisme du génocide des Tutsi de 1994. Il a été également , à un moment, accusé de jouer le porte-parole du gouvernement génocidaire dit des Abatabazi (Avril-Juillet 1994).

En 1990, HRW (Human Rights Watch) l’a pris pour un porte parole d’un gouvernement qui préparait le génocide, qu’il a été un instrument du régime de ce temps-là pour tromper l’opinion internationale à propos des crimes de génocide qui se commettaient dans le pays qu’il tournait en faveur des militaires et politiciens en fonction comme quoi c’était des mesures tendant vers le rétablissement de la sécurité et l’arrêt des massacres.

En 1998, une autre association anglaise de droits humains, Africa Rights, avait demandé au Conseil Anglican Mondial de faire son possible pour établir la responsabilité du Pasteur dans le génocide des Tutsi de 1994 dont la complicité avec un autre pasteur anglican pour refuser un refuge aux Tutsi qui étaient pourchassés durant ce génocide et de mettre à découvert d’autres qui s’étaiet cachés.


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