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La surréaliste première conversation téléphonique entre François Hollande et Donald Trump

Redigé par igihe
Le 11 février 2017 à 10:51

Selon le site Politico, le premier échange entre les deux responsables n’a pas été très conventionnel.
François Hollande ne se représentera pas au poste de chef de l’Etat et n’aura donc pas l’occasion d’entretenir une longue relation avec Donald Trump. Mais la première approche entre le locataire de l’Elysée et celui de la Maison Blanche semble avoir été… gênante. C’est ce que révèle le site Politico, qui cite notamment un haut fonctionnaire de l’administration américaine comme source.
Lors de leur (...)

Selon le site Politico, le premier échange entre les deux responsables n’a pas été très conventionnel.

François Hollande ne se représentera pas au poste de chef de l’Etat et n’aura donc pas l’occasion d’entretenir une longue relation avec Donald Trump. Mais la première approche entre le locataire de l’Elysée et celui de la Maison Blanche semble avoir été… gênante. C’est ce que révèle le site Politico, qui cite notamment un haut fonctionnaire de l’administration américaine comme source.

Lors de leur conversation téléphonique du 28 janvier, les deux responsables ont ainsi abordé la lutte contre l’Etat islamique. Jusque-là rien d’anormal entre deux pays en première ligne du combat contre le terrorisme international. Mais Donald Trump a ensuite profité de la discussion avec le chef d’État français pour parler des moqueries dont il était la victime depuis son investiture.

Le nouveau président américain a par ailleurs évoqué la Chine et l’OTAN, semblant manifestement "obsédé" par les problèmes autour de ces entités. Donald Trump a fait part de son mécontentement, au point de dire au président français que la France pouvait continuer à protéger l’OTAN, mais que les États-Unis "voulaient récupérer leur argent". Le milliardaire américain semblait "obsédé par l’argent". "C’était une conversation difficile parce qu’il s’exprime en privé comme s’il était en public", raconte encore le haut fonctionnaire. "Ce n’est pas comme ça qu’échangent des chefs d’États habituellement. Il parle avec des slogans et la conversation n’était pas complètement planifiée".

atlantico.fr


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