Seuls les militaires resteront dans les camps militaires

Redigé par INGABIRE Luc-Noël
Le 14 janvier 2014 à 10:07

L’armée burundaise démente catégoriquement qu’il n’y a pas eu des orphelins refoulaient dans le « Camp de Bataillon Para » qui se trouve dans la commune urbaine de Musaga. Le porte-parole de l’armée burundaise, Colonel Gaspard Baratuza, dit qu’il s’agit d’une mesure prise pour que reste dans les camps militaires, seuls les militaires.
L’armée burundaise a récemment pris une mesure selon laquelle seuls les militaires soient les seuls à habiter dans les camps militaires. Comme l’explique le Colonel Gaspard (...)

L’armée burundaise démente catégoriquement qu’il n’y a pas eu des orphelins refoulaient dans le « Camp de Bataillon Para » qui se trouve dans la commune urbaine de Musaga. Le porte-parole de l’armée burundaise, Colonel Gaspard Baratuza, dit qu’il s’agit d’une mesure prise pour que reste dans les camps militaires, seuls les militaires.

Colonel Gaspard Baratuza, porte-parole de l’armée burundaise

L’armée burundaise a récemment pris une mesure selon laquelle seuls les militaires soient les seuls à habiter dans les camps militaires. Comme l’explique le Colonel Gaspard Baratuza, porte-parole de l’armée burundaise, il a été remarqué que des fois les activités des militaires ne se déroulent pas convenablement dans les camps militaires suite au peuplement de ces derniers. Les familles des militaires viennent habités dans les camps ainsi que les membres de la famille des militaires. Cela est incompréhensif que ces familles continuent à vivre dans les camps militaires, fait constater Colonel Gaspard Baratuza, puisque plus de 10 ans viennent de passer, le pays ayant retrouvé la paix.

Le porte-parole de l’armée burundais fait savoir que seuls les militaires doivent rester dans leurs camps. L’objectif est de retrouver de l’espace pour les militaires qui ont été dispersés dans divers recoins du pays en tant de guerre parce qu’ils sont en train regagner les casernes. Comme l’indique Colonel Gaspard Baratuza, lorsque le nombre de civils devient supérieur à celui des militaires, les activités militaires ne peuvent aller bon train. De plus, poursuit-il, le camp ne serait plus être qualifié de « militaire ». Selon ce porte-parole, telle est l’explication qui justifie la mesure prise.


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