Il est des situations où l’exercice du pouvoir révèle moins les vertus de l’homme d’État que les aspérités de son caractère et les errements de sa stratégie politique. Le président Félix Tshisekedi, confronté à la complexe équation sécuritaire à l’Est de la République démocratique du Congo, en offre aujourd’hui une illustration des plus éloquentes.
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Articles
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Les incohérences tragiques de la politique de Félix Tshisekedi
22 avril, par Alain Bertrand Tunezerwe -
Kenya : La Rwandaise accusée de tentative de meurtre obtient une liberté sous caution
5 janvier 2024, par Ndizeye Franck EspoirAntoinette Uwineza, une femme rwandaise accusée d’avoir comploté pour assassiner un homme suisse à Nairobi, a été libérée sous caution par un tribunal kenyan.
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De la Profonde vilence du ’Soft Power’
5 août 2018, par Jovin Ndayishimiye“ Soft power”, “hard power”, “smart power”, autant de notions qui méritent d’être revisitées du point de vue de la victime.
Le soft power est tout sauf “doux ” : il s’attaque au disque dur, à l’ADN spirituel et culturel du peuple dominé. Le soft power et le hard power sont imbriqués l’un dans l’autre ; d’où, la notion de “smart power” pour exprimer ce deux-en-un.
Ce package est un véritable étau et une chape de plomb mais il faut arriver à s’en défaire : c’est la condition sine qua non d’un développement endogène et donc durable. -
Un endettement inquiétant pour le Burundi
12 novembre 2013L’organisation non-gouvernemental, PARCEM, œuvrant au Burundi, lance un cri d’alarme aux dirigeants burundais. Elle les interpelle à prendre en main la question financier qui semble être en difficulté en ce moment à cause des endettements tant interne qu’externe ainsi que l’aide en provenance des bailleurs de fonds qui se font rares.
Alors que 2005 était l’année dédié la mise un terme aux dettes que le pays avaient contracté avec l’appui de la Communauté Internationale, cela n’a pas empêché le pays (...) -
Le Swahili : notre langue, notre union, notre force – Mwalimu Malonga Pacifique
6 avril 2017, par Olga IshimweL’Assemblée nationale rwandaise a validé le mercredi 8 Février 2017, une loi visant à faire du Kiswahili la 4ème langue officielle du pays. Cette mesure législative a été établie pour permettre au « Pays des mille collines » de faire un pas de plus vers l’intégration politico-économique au sein de la communaté est-africaine.
Dans une interview exclusive avec Malonga Pacifique, un des grands piliers de la langue Swahili au Rwanda, plus populairement connu sous le nom de “Mwalimu” pour son émission sur (...) -
Quête de paternité en plein essor au Rwanda
10 juillet 2023, par Jean Jill MazuruUn nombre croissant d’hommes au Rwanda font appel aux tests d’ADN pour confirmer leur paternité, selon le Rwanda Forensic Laboratory (RFL) le laboratoire national médicolégal.
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Burundi : Y a-t-il un tribunal compétent pour juger l’affaire Bunyoni ?
26 avril 2023, par Ndizeye Franck EspoirLe gouvernement du Burundi a annoncé que l’ancien Premier ministre, Alain Guillaume Bunyoni, est accusé de crimes contre la sécurité nationale, d’atteinte au bon fonctionnement de l’économie nationale et d’intérêts personnels indus.
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Niger : Zeine nommé premier ministre face à la pression de la CEDEAO
9 août 2023, par Jean Jill MazuruSuite à l’ultimatum lancé par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) concernant le rétablissement du président Mohamed Bazoum au pouvoir, les dirigeants du coup d’État militaire au Niger ont nommé Ali Mahaman Lamine Zeine comme Premier ministre.
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Stromae annonce l’annulation complète de sa tournée en cours
9 mai 2023, par Henriette AkimanaStromae, l’artiste belge de renommée internationale, a annoncé aujourd’hui l’arrêt total de sa tournée en cours, citant le besoin impératif de repos pour des raisons de santé.
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« L’accord de libre-échange africain ne doit pas se limiter à une opération de communication »
26 mars 2018, par Olga IshimweLa signature de l’accord sur la Zone de libre-échange continentale (ZLEC) par 44 pays africains, mercredi 21 mars à Kigali, est un événement inédit. Certes, de nombreux commentateurs ont interprété l’absence du Nigeria parmi les signataires comme un demi-échec ; bien sûr, la présence sur la photo finale de la première puissance économique du continent eût été symboliquement forte. Mais à la vérité, tel n’était pas l’enjeu de ce sommet extraordinaire de l’Union africaine (UA) au Rwanda. La question qui se posait était plus grave : il s’agissait de savoir si ceux d’entre nous qui pensons qu’une autre Afrique est possible avions encore le droit d’espérer.