Ces nouveaux supports d’un genre beaucoup plus moderne, permettront de faciliter la tâche, à chaque fois que de besoin aux chercheurs, universitaires et autres journalistes.

Dans un entretien qu’il a accordé aux professionnels des medias, le patron du Minubumwe a révélé que son ministère aura bénéficié dans ce cheminement, de l’expertise du Mémorial de la Shoah, rompu à ce genre de pratiques.

Dans un premier temps, seront exploités un millier de témoignages des survivants du génocide, desquels seront tirés des livres, des films documentaires qui seront postés sur la chaîne You Tube, voire sur tous les réseaux sociaux.

Seront privilégiés dans cette phase préliminaire, les témoignages de rescapés et des Protecteurs sociaux (Abarinzi b’igihango en langue nationale, Kinyarwanda.)

La politique de la mémoire est primordiale pour le gouvernement Rwandais, car, elle vise non seulement à l’entretenir, mais également à la défendre dans le but de contribuer à la création d’un climat de confiance entre tous les membres de la société rwandaise. Il faudra donc continuer à rétablir la vérité et à rendre justice ; un sacré boulot auquel s’attele le Minubumwe en corrélation avec sa mission.