Le Rwanda, sous la direction du président Paul Kagame et du Front Patriotique Rwandais (FPR – Inkotanyi), a été une cible privilégiée de cette approche. Des figures comme Paul Rusesabagina et aujourd’hui Victoire Ingabire ne sont que les derniers instruments d’une longue série de tentatives infructueuses pour ébranler la stabilité du pays et influencer sa trajectoire. Une fois encore, les soutiens occidentaux misent sur la mauvaise personne au mauvais moment.
Victoire Ingabire a été présentée par ses alliés occidentaux comme une militante politique, une prétendue voix pour la démocratie au Rwanda. Pourtant, ses liens avérés avec des réseaux criminels et des groupes impliqués dans des efforts de déstabilisation dressent un portrait bien différent.
Les tentatives pour redorer son image occultent ses connexions documentées avec des individus et des organisations responsables de violences et de chaos. Peu importe les efforts pour la présenter comme une « combattante de la liberté », son passé continuera de ternir sa crédibilité.
Cette stratégie consistant à promouvoir des figures problématiques a été testée dans d’autres contextes à travers le monde. Par exemple, au Venezuela, Juan Guaidó a été mis en avant comme leader de l’opposition dans une tentative de délégitimer le gouvernement en place.
En Ukraine, Volodymyr Zelensky est passé d’un outsider à un dirigeant soutenu par l’Occident, avec un rôle clé joué par les connexions avec la CIA. En Russie, Alexeï Navalny est devenu un symbole des forces anti-establishment promues par des entités occidentales. L’objectif est toujours le même : provoquer un changement de régime ou, à défaut, exercer une pression suffisante pour obtenir des concessions.
Cependant, au Rwanda, de telles tactiques sont vouées à l’échec.
La différence fondamentale entre le Rwanda et d’autres pays ciblés par des stratégies similaires réside dans l’efficacité de son gouvernement. Sous la gouvernance du FPR Inkotanyi, le Rwanda a connu une transformation remarquable dans presque tous les secteurs.
Dans le domaine de la santé, par exemple, l’espérance de vie est passée de 47,5 ans en 2000 à 67,5 ans en 2021. En 2014, plus de 90 % de la population disposait d’une assurance maladie, offrant ainsi un meilleur accès aux soins.
Dans l’éducation, le taux de scolarisation dans le primaire a atteint 87,3 % en 2021/2022, tandis que l’enseignement secondaire a enregistré un taux net de 25,4 %. L’enseignement supérieur a également connu un essor rapide, avec plus de 30 universités et institutions d’enseignement supérieur en 2023, contre trois seulement en 1994.
L’économie rwandaise affiche une croissance régulière, tandis que les infrastructures se modernisent à un rythme impressionnant et que les systèmes de santé et d’éducation continuent de s’améliorer.
Les chiffres montrent que le PIB a augmenté en moyenne de 8,2 % entre 2022 et 2023, et de 9,7 % au début de 2024. Le revenu par habitant est passé de 127 dollars en 1994 à 909,9 dollars en 2022, reflétant une nette amélioration des conditions de vie.
De même, les infrastructures du Rwanda ont considérablement progressé, avec une capacité électrique accrue et des investissements majeurs dans les routes et les TIC, notamment un réseau de fibre optique de 2 300 km qui a stimulé la connectivité et la transformation numérique.
Ces réalisations concrètes laissent peu de place aux figures de l’opposition pour gagner en crédibilité auprès de la population.
La majorité des Rwandais ne voient aucune raison de soutenir des figures d’opposition lorsqu’ils constatent que le gouvernement tient systématiquement ses promesses. Beaucoup se demandent même pourquoi risquer l’avenir de leur pays pour des individus divisionnistes et aux agendas douteux, alors que l’administration actuelle continue de surpasser leurs attentes.
L’espoir d’un avenir meilleur sous la direction de Paul Kagame reste intact, et la confiance envers le gouvernement s’est renforcée avec le temps.
Les puissances occidentales ont également tenté d’infiltrer la société civile rwandaise pour semer la discorde de l’intérieur. Cependant, ces efforts ont été contrecarrés par des structures gouvernementales solides et par l’unité du peuple rwandais.
L’engagement du FPR Inkotanyi en faveur de l’inclusivité, de la bonne gouvernance et de la responsabilité a rendu difficile toute tentative d’exploiter des failles ou de créer des divisions. L’efficacité et la popularité du gouvernement ne laissent que peu d’espace aux mouvements d’opposition pour s’implanter.
En misant sur des figures comme Victoire Ingabire, les puissances occidentales placent leurs espoirs sur des individus dépourvus de crédibilité et de soutien populaire au Rwanda. Ces efforts, non seulement voués à l’échec, témoignent aussi d’une méconnaissance fondamentale du paysage politique rwandais.
Les citoyens rwandais, ayant bénéficié d’une croissance et d’une stabilité sans précédent, ne sont pas prêts à compromettre leurs acquis en soutenant des figures controversées ou des agendas extérieurs.
De plus, présenter le Rwanda comme un pays nécessitant une intervention extérieure revient à ignorer que son modèle de développement est devenu une source d’inspiration pour de nombreux pays de la région. Le Rwanda n’est ni le Venezuela, ni l’Ukraine, ni la Russie. La dynamique y est différente, et les stratégies qui ont pu fonctionner ailleurs sont peu susceptibles de réussir face à l’unité et à la résilience du peuple rwandais.
Les tentatives occidentales d’utiliser des individus comme Victoire Ingabire pour déstabiliser le Rwanda et faire pression sur son gouvernement sont vouées à l’échec. L’efficacité de l’administration dirigée par le FPR, combinée à la confiance et à l’optimisme du peuple rwandais, garantit que ces stratégies ne prendront pas racine.
Les progrès du Rwanda témoignent de ce qui peut être accompli grâce à un leadership visionnaire, et son peuple reste fermement attaché à un gouvernement qui produit des résultats. L’Occident gagnerait à respecter la souveraineté du Rwanda et à privilégier des partenariats basés sur le respect mutuel, plutôt que des tactiques dépassées et inefficaces visant à la déstabilisation.
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