L’attaque au domicile de de Gaston Sindimwo a probablement une relation à ce qui serait en train de se tramer contre les parlementaires de l’UPRONA. Les interpellés pour l’attaque donne ouverture à un probable lien.

Gaston Sindimwo

Deux gens présumés auteurs de l’attaque aux grenades au domicile Gaston Sindimwo sont actuellement incarcéré dans le cachot de la BSR. Dans ce cachot, ils seraient victime d’une maltraitance surtout en leur changeant continuellement leur lieu de détention. Des ménances, des intimidations seraient lancé en leur endroit à chaque passage de Gaston Sindimwo, uproniste pro-Concilie Nibigira.

D’après des informations fiables recueillies, six personnes ont déjà passé à la BSR pour témoigner contre ces deux détenus, mais, le paradoxe est que ces témoins semblent ne pas connaitre ceux à qui ils témoignent contre. Du coup, Gaston Sidimwo serait de faire recours par tous les moyens pour pérenniser le séjour de Lionel Ninteretse, leader des JRR en commune Kanyosha, ainsi que Fabrice Shurweryimana et d’autres membres du parti UPRONA ne reconnaissant pas l’autorité de Concilie Nibigira.

Lionel Ninteretse( 8 Mars 2014, après quelques coups des jeunes imbonerakure du CNDD-FDD)

Un troisième jeune du nom d’Olivier Iranzi a aussi été incarcéré pour le même motif (l’attaque au domicile de Gaston Sindimwo). Mais celui-ci serait un pion du montage de Gaston Sindimwo. Lionel et Fabrice ont été encouragés pour faire porter le chapeau au nouveau venu mais ils ont refusé puisqu’il se dit victime d’un montage.

Ce montage incriminé à Gaston Sindimwo est fondé sur le fait que les deux détenus étaient à Nyakabiga la veille de l’attaque du domicile de Gaston. Mais, une information provenant du mouvement JRR fait savoir que Fabrice et Lionel y étaient sur invitation des amis de Gaston Sindimwo, pour boire un coup ensemble. Cette invitation n’était qu’une couverture d’incrimination planifiée par le montage de Gaston, indique les JRR.

Ce genre de situation ne date pas d’aujourd’hui au sein du parti UPRONA. En 2011, Manwangari Jean Baptiste avait été victime d’un montage. Sur ce, les upronistes demande un suivi minutieux de cette situation parce qu’il est fort probable que ce soit un montage.