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Paul Kagame et des investisseurs géorgiens : secteurs à hautes potentialités

Redigé par IGIHE
Le 16 mars 2013 à 12:12

Paul Kagame sillonne les Etats Unis en quête d’investisseurs pour le Rwanda. Décidément, il est talonné par son idée chère d’indépendance économique en attirant des dollars privés dans son pays. En ce 15 mars, il est à Atlanta dans l’Etat de Géorgie.
Il s’adresse aux dirigeants politiques locaux qui sont liées à des affaires commerciales et à des ONGs dont Andrew Young, ambassadeur américain à l’ONU et le sénateur Johnny Iakson.
Secteurs à hautes potentialités d’investissements
Dans sa communication, il a (...)

Paul Kagame sillonne les Etats Unis en quête d’investisseurs pour le Rwanda. Décidément, il est talonné par son idée chère d’indépendance économique en attirant des dollars privés dans son pays. En ce 15 mars, il est à Atlanta dans l’Etat de Géorgie.

Il s’adresse aux dirigeants politiques locaux qui sont liées à des affaires commerciales et à des ONGs dont Andrew Young, ambassadeur américain à l’ONU et le sénateur Johnny Iakson.

Secteurs à hautes potentialités d’investissements

Dans sa communication, il a décrit des secteurs d’investissement à haut profit au Rwanda dont l’énergie et les infrastructures. Le débat qui a suivi a été une opportunité aux potentiels investisseurs au Rwanda comment ils pourront collaborer avec le Secteur privé et la société rwandaise en général.

L’Ambassadeur Andrew Young n’a pas tari d’éloges à l’endroit de Paul Kagame. Il l’a décrit comme un dirigeant soucieux de l’indépendance de l’Afrique rendue possible par une coopération internationale égalitaire et parfaitement opposée au mode néocolonialiste.

Dans sa communication, le Président Kagame a montré les défis de la reconstruction auxquels le Rwanda a fait face. Il est ensuite revenu sur l’importance d’une coopération durable pour les changements radicaux entrepris par le Rwanda.

« Le Rwanda a connu un redépart avec de très faibles moyens. Tout était à refaire dans un Etat de complète faillite. La collaboration entre Rwanda et leur obsession pour la réussite ont permis de vaincre ces défis de taille »
, a confié le Président à son audience.

« Notre vision de transformation de la société rwandaise est un long chemin. Le plus important pour nous c’est de construire des institutions et un cadre de collaboration pour permettre un développement durable. Les aides à recevoir ne durent que juste le temps de constater qu’après elles, on est comme à la case départ. Permettre aux citoyens d’avoir une Capacity building et de s’autosuffire, c’est notre souci. Cela fait la différence », a déclaré à cette auguste assemblée le Président Paul Kagame plus que décidé à révolutionner les mœurs des citoyens rwandais qui doivent tous entrer dans l’économie de marché.

Pour ce qui est des potentialités d’investissements du Rwanda, Kagame a expliqué comment les experts économistes rwandais sont entrain de concevoir un plan de développement des infrastructures économiques faisant du Rwanda un Hub économique où le commerce sera hautement profitable.

Il est revenu principalement aux secteurs des infrastructures et de l’énergie qui généreraient de gros profits pour les gros investisseurs potentiels.

Il a rencontré de grands investisseurs américains dont Muhtar Kent, PDG de Coca Cola en compagnie de l’ambassadeur Andrew Young et Howard Buffett.

Le conseil Mondial du Commerce d’Atlanta est une institution fondée en 2010 avec objectif de promouvoir le commerce mondial égalitariste. Il travaille en étroite collaboration avec l’Université d’Etat de Californie et de l’Institut de Finance de J. Mack Robinson.


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