Les attaques visaient principalement des entreprises d’investissement et des bourses centralisées.

"De 2020 à 2021, le nombre de hacks liés à la Corée du Nord est passé de quatre à sept, et la valeur extraite de ces hacks a augmenté de 40%", a déclaré Chainalysis dans son rapport.

Les pirates ont utilisé un certain nombre de techniques, notamment du phishing, et des logiciels malveillants pour siphonner des fonds abrités dans des portefeuilles connectés à Internet. Ils sont donc vulnérables au piratage, contrairement aux portefeuilles « froids », qui sont déconnectés de l’Internet au sens large.

Chainalysis a déclaré qu’il est probable que bon nombre des attaques de l’année dernière ont été menées par le soi-disant Groupe Lazarus, un groupe de piratage contrôlé par les services de renseignement nord-coréens contre lesquels les États-Unis ont appliqué des sanctions.

La Corée du Nord a régulièrement nié être impliquée dans les attaques de piratage qui lui sont attribuées .