Mme Muhama a aussi donné l’exemple de pays membres de l’OPEP, qui des fois spéculent, façon de revoir le prix des carburants à la hausse, ces réserves constitueraient en pareils cas, des solutions de secours alternatives.

Le programme d’aménager ces nouvelles réserves fut prise en 2021, lorsque le pays a constaté que cette tare constituait une épine dans son pied. Aussitôt dit, aussitôt fait ; les réserves de stockages furent bâties, à hauteur de 54 milliards de Frw.

Le fait que le Rwanda soit enclavé, constitue un autre facteur s’ajoutant aux autres pour pouvoir stocker en quantité, a-t-elle renchéri ; avant d’ajouter que l’état Rwandais est parvenu à ses fins en partenariats avec les pétroliers du secteur privé.

Interrogee sur ce qu’il en est avec le stockage du gaz de cuisson, la directrice-générale à l’énergie, beaucoup plébiscité de nos jours, Muhima a quatre points cardinaux du Rwanda, la patronne de l’énergie au Mininfra a répliqué qu’il existe un projet de construction de réserves de gaz dans différents coins du Rwanda, toujours en partenariat avec le secteur privé ; en vue d’en faciliter l’accès aux citoyens.

Les réserves de stockage à gaz opérationnels au pays, appartiennent tous à ce jour aux privés, nous apprend le Mininfra. Elles sont à mesure d’emmagasiner 706,25 mégatonnes. Toutefois en 2020, le gouvernement Rwandais a signé un accord d’en construire d’autres a Rusoro, d’une capacité de 17.100 m3, soit 8,5 mégatonnes ; lesquels accords ont été revus en Juillet 2021.

Débutés en Avril 2022, les travaux de construction des réserves de stockage arriveront à terme en Avril 2024.