La modification du mode de vie, des habitudes, du confort pour sauver la planète ainsi que les générations futures restent encore un combat à mener.
Et pourtant la planète en a fortement besoin pour palier le changement climatique et les catastrophes que cela annonce.
Il va devoir le dire, le redire et le répéter à tue-tête ; l’impact des déchets déversés dans les rivières, les lacs, les mers et les océans ; la pollution de l’air et la couche d’ozone sont les principaux défis environnementaux auxquels le monde d’aujourd’hui est confronté.
La volonté d’agir partirait de l’individu, de la famille, de la communauté, des entreprises, des usines, des industries, des Etats ; bref de tous car c’est véritablement une cause commune cette crise du climat.
Les solutions et la manière d’en partager la responsabilité en constituent encore un goulot d’étranglement. La volonté individuelle et collective d’agir en faveur du climat rencontre des obstacles en tout genre.
Certains Etats évoquent une pénurie de moyens et la vétusté des équipements. Dans certains médias ont évoqué la surestimation des menaces environnementales pour faire peur, ou alors le manque d’informations. Ailleurs, les activistes accusent leurs gouvernements d’inactions.
En France, le tribunal administratif de Paris avait reconnu que l’Etat avait commis « une faute » en ne respectant pas ses engagements de réduction des gaz à effet de serre.
Les associations environnementales que sont Green Peace, Oxfam et la Fondation Hulot avaient saisies la justice pour faire condamner l’Etat.
Cette crise nécessite de la pédagogie pour éviter d’inquiéter et susciter des angoisses.
Pendant qu’on assiste de plus en plus et assez régulièrement à la fonte des glaces, des inondations, la hausse des températures et des incendies ; ces réalités sont porteuses d’angoisse.
Les informations relatives au changement climatique sont pour la plupart partielles et mal comprises.
Le plus grave ce que même les scientifiques n’ont pas trouvé de consensus. Et cela ajoute de la confusion lorsqu’ils soutiennent que « l’activité humaine n’y est pour rien ».
De Trump aux Etats Unis à Bosonaro au Brésil, même les Chefs d’Etats font des sorties de route sur le climat. Et ils mettent en péril l’éveil des consciences sur le réchauffement climatique en s’appuyant sur des données trop minces et dressant des constats en dehors de toute rigueur scientifique.
Heureusement la problématique du climat mobilise plus large que jamais.

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