C’est ce qu’a déclaré de DG de Croix Rouge International, Yves Daccord, qui dit que les agents reconnus avoir participé dans des actions de monnayage du sexe ont démissionné de leurs postes de leur propre gré, que d’autres ont été forcés à la démission.

Yves Daccord a décidé de faire ces déclarations au moment où il se dit que les agents de la section de cette société internationale de la Croix Rouge chargée de protection de personnes en difficulté ont entraîné des femmes, des filles et des enfants qu’ils étaient censés protéger dans des actes de prostitution.

Depuis l’an 2006, la Croix Rouge Internationale a publié des directives interdisant formellement à ses agents de monnayer leurs partenaires sexuels.
Il en va de même de l’ONG internationale PLAN qui a des programmes pour enfants et qui a annoncé avoir renvoyé six de ses agents reconnus de vagabondage sexuel sur leurs protégées.

Le journal The Times a lui aussi mis dans son collimateur les agents de l’OXFAM Haiti et Tchad qu’il a accusé de s’adonner au trafic humain sur les femmes et les filles qui ont été forcées à faire des actes sexuels.

Après vérification, OXFAM a reconnu les faits, ce qui a provoqué le Directeur Adjoint de l’OXFAM à la démission.