Ce n’est pas forcément dans la tête

Redigé par IGIHE
Le 9 juillet 2018 à 01:09

« On dit toujours qu’avec la sexualité, il y a des hauts et des bas. Du coup, quand Éric a commencé à espacer nos rapports, je ne me suis pas inquiétée. Je savais qu’il subissait beaucoup de stress au bureau et je comprenais qu’il n’avait pas la tête à ça. Mais au bout de quelques mois, nous ne faisions plus du tout l’amour et je me sentais de plus en plus mal. […]
Faire l’amour a, entre autres, le pouvoir d’effacer les agacements, les petites disputes du quotidien, et permet de repartir légers et pleins (...)

« On dit toujours qu’avec la sexualité, il y a des hauts et des bas. Du coup, quand Éric a commencé à espacer nos rapports, je ne me suis pas inquiétée. Je savais qu’il subissait beaucoup de stress au bureau et je comprenais qu’il n’avait pas la tête à ça. Mais au bout de quelques mois, nous ne faisions plus du tout l’amour et je me sentais de plus en plus mal. […]

Faire l’amour a, entre autres, le pouvoir d’effacer les agacements, les petites disputes du quotidien, et permet de repartir légers et pleins d’énergie. Comme il n’y avait plus « ça », notre existence était terne. Les sorties, les dîners en famille ou avec les amis, tout prenait un goût de « à quoi bon ». La joie avait disparu. » [1]

Ce témoignage de Céline montre à quel point la baisse du désir peut menacer l’équilibre d’un couple.

Face aux problèmes de libido, les couples se trouvent souvent dans un désarroi profond. La tentation est grande de ne rien faire. C’est un sujet très délicat qu’on a souvent du mal à aborder à deux.

Si l’un des deux a le courage d’en parler à son médecin, celui-ci n’aura malheureusement pas grand-chose à proposer : il l’orientera peut-être vers un psychologue ou un sexologue. Pour les femmes, le médecin généraliste recommandera d’en parler avec une gynécologue.

On associe souvent la baisse du désir à un problème psychologique, aux effets secondaires des médicaments comme les antidépresseurs, ou encore au vieillissement.

Mais les problèmes de libido trouvent parfois leurs origines dans des dysfonctionnements physiologiques.

Ce que cachent les problèmes de libido

Les troubles sexuels peuvent cacher des problèmes plus graves qui doivent être traités.

Saviez-vous par exemple que :

La sécheresse vaginale peut être un des symptômes d’une descente d’organe ;

Les bouffées de chaleur chez une femme en surpoids révèlent que ses œstrogènes sont statiques ce qui augmente le risque de développer des cancers hormonodépendants ;

Une douleur durant les rapports au fond du vagin au niveau du col peut être le signe annonciateur d’un kyste de l’ovaire ou d’une endométriose[2] ;

Une dysfonction érectile peut être déclenchée par un diabète de type 2 (fréquence de la dysfonction érectile 50 à 75% chez les diabétiques de type 2 [3]).

C’est ce que j’ai découvert en écoutant les conseils de Marc Beck, médecin homéopathe qui répondra aux questions des abonnés des Rendez-vous de Plantes & Bien-Être lors d’une soirée spéciale.

Si vous êtes concerné ou si vous connaissez une personne qui a osé se confier à vous, vous ne devez pas manquer ce webinaire « Ce que vous pouvez faire pour votre libido ».

Vous aurez en main toutes les solutions pour espérer :

Retrouver le désir de votre partenaire et lui redonner confiance ;

Rapprocher la fréquence de vos rapports pour recréer ce lien que vous aviez perdu ;

Partager à nouveau des moments d’intimité forts qui renforcent votre couple.

Car Marc Beck vous donne aussi les approches naturelles pour faire revenir le désir en douceur, sans avoir recours aux médicaments et autres artifices.

Comment les plantes peuvent faire revenir le désir
En suivant les conseils de Marc Beck, vous apprendrez à identifier les causes de la baisse de désir et comment les traiter naturellement :

Cette plante est traditionnellement utilisée par les guérisseurs en Inde et en Chine pour stimuler le désir ;

Quels médicaments peuvent être à l’origine de votre baisse de libido ;

Si vous êtes un homme, prenez du lin ! Cette plante aide à maintenir le niveau de testostérone, l’hormone du désir sexuel masculin. Mais vous verrez qu’il faut le prendre sous une certaine forme.

La maca, plante péruvienne, permet de lutter contre la sécheresse vaginale ;

Si vous prenez une pilule contraceptive, il y a quelque chose que vous devez absolument faire pour éviter les changements d’humeur ;

Quelle association de plantes peut diminuer vos bouffées de chaleur ;

Et plus généralement comment accompagner au long cours vos troubles sexuels grâce à une médecine douce et adaptative ;

Ce ne sont quelques-unes des nombreuses solutions abordées par Marc Beck lors de cette séance de « coaching » qui aura lieu le jeudi 12 juillet à 20h30.

Comme les rapports intimes sont un sujet délicat, je tiens à vous rassurer : durant cette soirée, l’anonymat des participants sera parfaitement respecté.

Cela offre ainsi une véritable liberté de parole : les participants ne se sentent pas confrontés au regard des autres et ils ne ressentent pas la gêne qui peut apparaître lors d’un rendez-vous médical en tête à tête.

C’est l’un des nombreux avantages du programme Les Rendez-vous de Plantes & Bien-Être. Une fois par mois, vous avez la possibilité de poser vos questions à un expert par l’intermédiaire d’Alessandra Moro-Buronzo qui anime le webinaire en présence du spécialiste.

Pour voir cette conférence, vous n’aurez pas à sortir de chez vous.

Il vous suffira d’être équipé d’un ordinateur, d’une tablette ou même d’un smartphone. L’heure venue, vous recevrez un message électronique vous invitant à vous connecter à une plateforme sécurisée. Vous pourrez alors démarrer immédiatement la vidéo.

Si vous n’êtes pas disponible à cette heure, ce n’est pas grave. Vous pourrez regarder la vidéo, plus tard, autant de fois que vous le souhaitez.

Et surtout pensez à prendre un cahier et un stylo. Car vous obtiendrez une mine d’informations pratiques et il est fort probable que vous n’arriviez pas à tout retenir.

Pour assister à cet événement, il vous suffit de devenir membre des Rendez-vous de Plantes & Bien-Être.

Vous aurez la chance d’assister à cette soirée spéciale mais aussi de prolonger l’expérience en participant à un projet audacieux mais ô combien urgent et indispensable :

La toute dernière mission de sauvetage pour les plantes médicinales

DES GÉNÉRATIONS DE GUÉRISSEURS ET D’HERBORISTES ONT DÉJÀ DISPARU – et leur savoir avec eux !!! Je pense par exemple à Ludo Chardenon, Jacky Rouvier : le dernier herboriste diplômé a disparu en 2000 à 95 ans.

Mais l’histoire n’est pas tout à fait terminée.

Cueilleurs, herboristes, médecins, pharmaciens, phytothérapeutes, il reste encore quelques-uns de ces « derniers des Mohicans », derniers réceptacles de cette culture inestimable et qui serait, sans cela, menacée de disparition tel le continent englouti de l’Atlantide.

Ce sont les irréductibles.

Ils sont dans certaines vallées reculées des Pyrénées ; au fin fond de l’Auvergne ; cachés dans des villages perdus du Berry, de Provence ou des Vosges. Mais il y en a aussi dans les grandes villes ! Au détour d’une ruelle, dans un coin secret de Paris…

Méprisés de tous, abandonnés par la modernité qui continue sa trajectoire à 100 à l’heure vers la catastrophe, oubliés et souvent persécutés des autorités, qui les ont toujours considérés comme des gêneurs inopportuns…

Ils sont l’équivalent, pour notre pays, des derniers shamans de Sibérie, des tribus bientôt détruites d’Amazonie.

Leurs grands-parents, leurs parents, leurs oncles et tantes, ne sont plus là pour nous parler.

Mais ils sont encore là : ils sont les vestiges inestimables d’une culture précieuse, contre laquelle la modernité s’acharne mais qui résistent.

Ils continuent à soigner envers et contre tout.

Ils ont gardé de vieux cahiers, des recettes transmises d’âge en âge, des gestes qui soignent.

Certains sont encore jeunes : ce sont des caractères exceptionnels et très rares, qui ont pris conscience de l’importance de leur mission.

D’autres sont plus âgés.

Mais grâce au patient et minutieux travail de reconstitution, Alessandra Moro Buronzo, la rédactrice en chef de Plantes & Bien-Être, a identifié les plus grands connaisseurs parmi eux. Elle a poussé leur porte. Elle les connaît.

Personne d’autre ne peut tous les connaître.

Ils ne sont pas signalés comme tels dans l’annuaire. Il n’existe pas de liste à leur sujet sur Internet.

Il est presque impossible de les identifier, et plus encore de les rencontrer et les consulter – surtout qu’ils sont disséminés parfois à des centaines de kilomètres les uns des autres !!

Le but de cette « mission de sauvetage » pour les plantes est de permettre une renaissance qui leur ouvrira la connaissance de ces secrets de médecine et de santé.

Demain, c’est peut-être grâce à quelques personnes courageuses que les futures générations et le monde entier auront accès à ces trésors perdus.

Pourquoi est-ce que je vous parle de cette Mission ? Pourquoi êtes-vous concerné(e) ??

Vous n’êtes PAS concerné(e).

VOUS ÊTES INDISPENSABLE !!

Alessandra Moro Buronzo ne peut entreprendre cette mission de sauvetage seule, sans compagnons de route, sans réseau de solidarité pour la soutenir et relayer son travail.

Elle peut le faire, elle va le faire, mais il est indispensable qu’elle soit épaulée dans cette quête de la dernière chance. Cela doit être un travail collectif, sans quoi tout ce travail se perdra, sera à son tour oublié.

Elle a BESOIN DE VOUS !!

Il s’agit de suivre Alessandra Moro Buronzo (par vidéo, depuis chez vous) tandis qu’elle va à la rencontre de ces personnages experts dans leur domaine et qu’ils lui expliquent leurs secrets de santé et l’usage des plantes médicinales ;

Il s’agit de garder la mémoire de ces derniers trésors vivants du monde bientôt menacé des plantes médicinales (en gardant trace chez vous de leurs témoignages, des secrets qu’ils ont reçus de leurs ancêtres) ;

Il s’agit de conserver et de transmettre (chez vous, puis un jour à votre entourage) les précieux films, documents, enregistrements, fiches pratiques, qu’elle vous enverra sur les plantes, les remèdes anciens et bientôt oubliés, au fur et à mesure qu’elle les recueille ;

Il s’agit de soutenir ce projet qui permettra de fixer, avant qu’il ne soit trop tard, ces gestes, préparations, connaissances concrètes d’une médecine ancestrale, qui peut guérir les maladies, douleurs, problèmes, déséquilibres qui affligent l’humanité et contre lesquels la médecine moderne ne peut rien.

Cette « Mission de sauvetage » pour les plantes est sans doute la dernière occasion de découvrir les secrets des plantes médicinales qui sans cela pourraient se perdre à jamais.

« Comment j’ai guéri mon cancer avec une plante »
Au début de mon message, je vous ai parlé des remèdes contre les maladies les plus graves.

Très peu de gens oseront vous parler de cancer soigné avec des plantes. C’est un des sujets les plus dangereux, les plus explosifs, ceux qui risquent d’attirer le plus d’ennuis avec la police, la justice, l’Ordre des Médecins…

Et pourtant :

Saviez-vous qu’Anne-Françoise Lof a récemment publié (novembre 2016) un livre intitulé « Comment j’ai guéri mon cancer avec une plante : l’Aloe arborescens » ?

Je suppose que non. Le black-out absolu est maintenu sur ce livre dans les médias.

Pourtant, cette psychologue française de 48 ans qui était atteinte d’un cancer du sein témoigne dans ce livre de son chemin thérapeutique avec le mélange d’Aloe arborescens (une plante médicinale) selon la recette transmise par le franciscain brésilien Romano Zago.

C’est un témoignage introuvable, inestimable, qui montre comment, « par d’autres cheminements, on peut aussi guérir du cancer ».

C’est le but de la Mission que de recueillir de tels témoignages et de vous les apporter. Sans cet effort, ils tomberont à coup sûr dans l’oubli.

Démangeaisons et infections : un remède dans votre poubelle
99 % des gens les jettent directement à la poubelle : ce sont les barbes de maïs, ces « cheveux » qui sont entre l’épi et les feuilles.

Pourtant, les Mayas, les Incas et autres peuples natifs d’Amérique utilisaient les vertus médicinales des barbes de maïs depuis 9000 ans, quand les Occidentaux les ont découverts.

Les herboristes européens ont vite appris à s’en servir : séchées, elles servent à faire un bain de pied qui soigne les cors et les durillons. En tisane, elles expulsent les toxines et déchets en excès dans l’organisme, et permettent de nettoyer les voies urinaires, y compris en cas d’infection de la vessie.

Si vous souffrez de démangeaisons ou d’infections, c’est la tisane à prendre en priorité. Elle vous nettoiera « de l’intérieur », réduira les œdèmes, bleus, bosses, et démangeaisons.

Nos grand-mères connaissaient pratiquement toutes ce remède. Voyez à quelle vitesse il a été oublié !

Poches sous les yeux : les 4 mousquetaires végétaux
Les poches sous les yeux ne sont pas vues comme un problème par la médecine, qui les considère comme une évolution « normale », liée à l’âge.

En fait, les poches sous les yeux sont dues à une rétention d’eau et parfois de graisse, renforcées par les toxines, l’alcool, le tabac et les médicaments.

Le maquillage permet de les cacher, pas de les traiter.

Les magazines féminins recommandent le concombre, les rondelles de pomme de terre : ça ne marche pas. Quant à la glace, efficace en urgence, elle abîme la peau très fragile du dessous de l’œil.

La médecine par les plantes connaît depuis des temps immémoriaux les « 4 mousquetaires » végétaux qui résorbent les poches sous les yeux.

Tout le monde l’a oublié, aujourd’hui.

Tout le monde… ou presque.

Parce que les rares véritables spécialistes des plantes vous expliqueront qu’il faut quatre hydrolats particuliers (les hydrolats sont des extraits de plantes obtenus par distillation à la vapeur) :

L’hydrolat de cèdre de l’Atlas

L’hydrolat d’hélichryse

L’hydrolat de cyprès

Et l’hydrolat de camomille.

En mélange à 50 % chacune, les deux premières sont à appliquer le matin sur le visage. Elles assurent la décongestion veineuse et stimulent la circulation sanguine.

Les deux autres sont à mélanger à 50 % chacune également, puis à appliquer sur des rondelles de coton. Les appliquer sur les deux yeux quelques minutes pour faciliter la migration de l’eau stagnante et adoucir l’épiderme fragilisé.

Truc supplémentaire contre les cernes : pour améliorer la régénération des muqueuses, ajouter dans sa crème de jour deux gouttes d’huile essentielle de ciste et deux gouttes d’huile essentielle de carotte sauvage.

C’est un trésor parmi les milliers et les milliers qui seront récoltés, documentés, archivés, au cours de cette grande Mission.

Il y en aura des milliers d’autres qui concerneront les maladies du cœur, l’arthrose, l’ostéoporose, la maladie de Parkinson, Alzheimer, la dépression, les insomnies, les acouphènes, les maux de tête, le côlon irritable, les irritations, les démangeaisons, les mycoses, la thyroïde, l’asthme et les allergies…


Publicité

AJOUTER UN COMMENTAIRE

REGLES D'UTILISATIONS DU FORUM
Publicité