FORSC : Ce qui se passe à Kiliba peut avoir des conséquences sur le Burundi et toute la région

Redigé par IGIHE
Le 8 mai 2014 à 05:04

Les avis surgissent de part et d’autre sur la convocation à laquelle Pierre Claver Mbonimpa a répondit ce Mercredi. Certains y voient une volonté de l’Etat de vouloir connaitre la vérité sur l’éventuelle distribution d’armes, d’autres trouvent qu’il s’agit d’une intimidation en l’endroit de la personne du Président de l’APRODH suite à ses propos qu’il a tenu.
Au sein du Forum de Renforcement de la Société Civile, FORSC en sigle, l’avis sur l’information qui rapporte que des jeunes en tenues militaire, (...)

Les avis surgissent de part et d’autre sur la convocation à laquelle Pierre Claver Mbonimpa a répondit ce Mercredi. Certains y voient une volonté de l’Etat de vouloir connaitre la vérité sur l’éventuelle distribution d’armes, d’autres trouvent qu’il s’agit d’une intimidation en l’endroit de la personne du Président de l’APRODH suite à ses propos qu’il a tenu.

Au sein du Forum de Renforcement de la Société Civile, FORSC en sigle, l’avis sur l’information qui rapporte que des jeunes en tenues militaire, portant des armes et qui font des exercices militaires en RDC ne doit pas être prise à la légère. Tôt ou tard, selon le FORSC, la vérité éclatera au grand jour surtout que des témoignages des voisinages de là où se passe ces exercices commencer à le confirmer.

Vital NSHIMIRIMANA, le Président du FORSC indique que ce que Pierre Claver Mbonimpa a évoqué et qui lui a valu un interrogatoire à la Police ne s’était pas prononcé pour la première fois. Depuis le 24 Avril 2014, lors d’une réunion des associations de la société civile et le ministre de l’intérieur, Edouard NDUWIMANA, le président de l’APRODH, Pierre Claver MBONIMPA avait prononcé les même propos et avait, de surcroît, promis qu’il pourrait aider à chercher la vérité sur cette jeunesse qui est amené en RDC et ceux qui les amènent.

Le président du FORSC souligne que ces informations doivent faire sujettes d’une attention particulière pour étaler la vérité sans intimider ceux qui osent évoquer la situation actuelle. Plutôt, il faut voir ceux qui disent quelque chose sur cette jeunesse qui partent pour la RDC comme des personnes qui ont un engouement de connaitre la vérité. Par ailleurs, ajoute Vital NSHIMIIMANA, cela peut couter des vies à des enfants du pays et peut avoir des répercussions sur toute la région dans laquelle se situe le Burundi.


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