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Harry Potter fête ses 20 ans : Retour dans le parcours de ce livre qui a ensorcelé nos cœurs..

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Le 26 juin 2017 à 11:06

Vingt ans après la publication d’Harry Potter à l’école des sorciers, Catherine Bon, ancienne éditrice chez Gallimard, se souvient pour Le Figaro de l’engouement massif pour les livres de J. K. Rowling.
Ce lundi 26 juin, J. K. Rowling fête la publication du premier tome de sa saga littéraire Harry Potter. Il y a tout juste vingt ans, les jeunes lecteurs découvraient l’école de Poudlard et le monde merveilleux des sorciers. En 1998, un an après les Britanniques, Gallimard décide de publier Harry Potter (...)


Vingt ans après la publication d’Harry Potter à l’école des sorciers, Catherine Bon, ancienne éditrice chez Gallimard, se souvient pour Le Figaro de l’engouement massif pour les livres de J. K. Rowling.

Ce lundi 26 juin, J. K. Rowling fête la publication du premier tome de sa saga littéraire Harry Potter. Il y a tout juste vingt ans, les jeunes lecteurs découvraient l’école de Poudlard et le monde merveilleux des sorciers. En 1998, un an après les Britanniques, Gallimard décide de publier Harry Potter à l’école des sorciers, The Philosopher’s Stone dans la version originale.

C’est d’abord Christine Baker, directrice éditoriale chez Gallimard Jeunesse qui a eu un coup de cœur pour les aventures du jeune sorcier. « C’était un pari, car dans l’univers des livres, cette école anglaise avec des uniformes, est loin des codes de la France », explique Catherine Bon. Mais la qualité de l’univers magique l’emporte sur les traditions locales.

Le manuscrit de J. K. Rowling peine alors à trouver un éditeur. Il faut prendre un risque, celui de s’engager avec un auteur inconnu pour non pas un livre mais sept ! « Dans tous les tomes, il y a une vérité humaine, sur l’amitié ou la relation avec les adultes par exemple. Il y a beaucoup d’inventivité, du suspense et d’humour. C’est un cocktail réussi ».

Passage au grand format

Cet engouement pour Harry Potter était-il prévisible ? Le premier tome de la saga cumule, sur vingt ans, 107 millions de livres vendus.

L’engouement pour les aventures de ces collégiens qui troquent leurs cours de mathématiques contre l’enseignement des potions magiques dépasse vite l’entendement. Cela passionne même les foules. Surtout à partir troisième tome, sorti en 1999. « Avec Le Prisonnier d’Azkaban, les ventes se sont envolées. » En 2007, l’ultime ouvrage Harry Potter et les reliques de la mort sera d’ailleurs tiré... à 2,3 millions d’exemplaires !

Si les premières éditions sont publiées en format de poche, L’École des sorciers, La Chambre des secrets et Le Prisonnier d’Azkaban connaissent une seconde jeunesse et sont réédités par la suite en grand format. Les tomes qui suivront bénéficieront directement de ce traitement de faveur. Ce qui était jusqu’ici un banal ouvrage pour enfants fait l’actualité littéraire.

Avec Le Figaro


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