Il est passé par trois centres de réeducation, mais il est encore à la rue

Redigé par Yves Nyirinkwaya
Le 25 janvier 2012 à 11:51

Ngerezaho John vagabonde dans les rues de Kigali, vu qu’il n’a pas de domicile fixe , il demande à etre aidé pour qu’il puisse mettre en application les connaissances qu’il a acquis dans les trois centre de reeducation dans lesquels il est passé.
Ngerezaho dit qu’après avoir perdu ses parents durant le genocide de 1994, il est passé par plusieurs centres de reeducation, à Gitagataa et Iwawa, ce qui lui a permis d’acquerir des connaissances en agriculture don’t il a un certificat. On a rencontré ce (...)

Ngerezaho John vagabonde dans les rues de Kigali, vu qu’il n’a pas de domicile fixe , il demande à etre aidé pour qu’il puisse mettre en application les connaissances qu’il a acquis dans les trois centre de reeducation dans lesquels il est passé.
Ngerezaho dit qu’après avoir perdu ses parents durant le genocide de 1994, il est passé par plusieurs centres de reeducation, à Gitagataa et Iwawa, ce qui lui a permis d’acquerir des connaissances en agriculture don’t il a un certificat.  
On a rencontré ce jeune homme dans un depotoire de dechets à Gakinjiro dans lequel il recupère  different objets usagés qu’il va revendre qui a declaré à IGIHE.com qu’en attendant de mettre en application ses connaissances , il continuera à vendre les objets recuperés dans la poubelle.  

"Je suis revenue d’Iwawa en pensant que l’on me fournira du materiel
et un endroit où travailler, je trouve qu’il n y a pas d’avenir dans l’exploitation
des poubelles, jusqu’à maintenant rien du tout” fait il savoir.

Ceci est un cas general, car il y d’autres jeunes qui sont dans la meme situation que lui.
Il se dit prêt de travailler si il trouve le materiel et un endroit où travailler, mais il craint que les autorités le remittent dans le centre de reeducation.
 

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