Une foule immense de mélomanes est encore une fois venue écouter et danser au rythme de ses deux chansons désormais de grande notoriété : IGISUPUSUPU et MARIYA JANI.
Mais qu’est ce qu’il y a dans ses chansons ?
Le petit stade paroissial de Kibungo est plein à craquer. Les jeunes chanter avec le jeune-vieux François Nsengiyumva. Puis qu’est-ce qu’il y a dans son IGISUPUSUPU ? Une histoire de déception d’une fille rurale dévergondée qui pense qu’elle peut se faire plus d’argent à Kigali à cause de sa beauté. Et le tout est chanté au rythme d’un Xylophone traditionnel faite d’une calebasse sectionnée, fixée sur un morceau de baton tendu en arc dont les deux bouts sont reliés entre eux par un fil tendu qui produit des sons métalliques au fur et à mesure que l’artiste bat le fil avec deux petits morceaux de bois qu’il manie avec dextérité.
Nsengiyumva fait sensation dans un petit stade bondé
Il est clair que le public jeune rwandais manifeste une soif inassouvie de loisirs culturels, la musique en particulier. Ici et là, les investisseurs privés construisent des églises mais personne ne comprend dans quelle mesure l’industrie des spectacles devrait avoir ses propres temples pour que les jeunes puissent consommer les produits culturels en toute décence.
Une vidéo prise pour la circonstance
https://www.youtube.com/watch?time_continue=188&v=-UNrpFSQzc8
Des images de l’artiste Françaois Nsengiyumwa












AJOUTER UN COMMENTAIRE
REGLES D'UTILISATIONS DU FORUM
Ne vous eloignez pas du sujet de discussion; Les insultes,difamations,publicité et ségregations de tous genres ne sont pas tolerées Si vous souhaitez suivre le cours des discussions en cours fournissez une addresse email valide.
Votre commentaire apparaitra apre`s moderation par l'équipe d' IGIHE.com En cas de non respect d'une ou plusieurs des regles d'utilisation si dessus, le commentaire sera supprimer. Merci!