Le Président Paul Kagame a appelé les investisseurs occidentaux à investir sur le Continent africain qui regorge de grandes potentialités de profits. Il a fait ces déclarations en début de semaine à l’Institut Milken de Los Angeles aux USA.

Il a d’abord montré une croissance économique très appréciée en Afrique pour ensuite inviter les investisseurs réunis pour la circonstances à mettre la main à la poche et venir investir en Afrique.

"La croissance économique, causes et origines", tel était le thème qu’il a développé en collaboration avec l’ex-Premier ministre britannique Tony Blair, avec Willem Buiter et Scott Minerd, dirigeant des Partenaires en Investissement mais aussi avec Osamu Nagayama de Chugai Pharmaceutical Co. Ltd.

"La croissance économique de l’Afrique est un processus durable. Investir en Afrique offre beaucoup de hautes potentialités de profits. Le moment propice est celui-ci. L’Afrique est prête à accueillir les investissements dans divers secteurs économiques", a lancé Kagame pointant particulièrement du doigt le secteur crucial de l’énergie pour lequel les partenaires investisseurs bien nantis pourraient faire de très grosses affaires.

"Nos défis génèrent les chances de profits. L’Afrique a la possibilité de fournir au monde 12% d’énergie. Il faut que les gouvernements africains redoublent de campagne de sensibilisation et se dire qu’il y va de leur responsabilité d’intéresser les investisseurs privés dans ce secteur", a-t-il dit

Kagame a inauguré le premier jour de conférences-débats avec les investisseurs privés en compagnie de Tony Blair, Seth Merrin et Mahendra Siregar. Ce dernier est le coordinateur des investissement en Indonésie. A la rencontre, figurait aussi Luis Carlos Villegas, abassadeur de la Colombie aux USA.

Les débats ont tourné autour des idées charpentes : Investissements étrangers, Bonne gouvernance d’un pays et rôle d’autres institutions internationales dans la gestion du développement. Introduction de bourses de valeurs et actions dans les pays africains, le commerce et les infrastructures de développement de la région mais aussi appui financier des activités économiques.

Comme sur un fil continu des événements montrant la lancée du Rwanda dans son perfectionnement sans cesse évolutif, Kagame a partagé avec son assistance son expérience de la guerre de libération du Rwanda de 1990 à 1994 :

"Dans la lutte de libération, mon rôle était quotidien. Je n’espérais pas continuer à vvre le lendemain. Nous avons travaillé sans relâche avec espoir de remplir ns responsabilités. Nous avons tout fait pour établir un environnement vivable normal au Rwanda", leur a-t-il lancé.