L’investisseur Sina Gérard : de la détermination pour réussir.

Redigé par IGIHE&Izuba Rirashe
Le 18 mars 2013 à 11:29

Il commence le commerce en 1983 à 20 ans. « J’avais un souci obsessionnel de faire quelque chose qui changerait les mœurs sociales », confie-t-il à Izuba Rirashe.
Sina Gérard, en Pull over orange s’entretenant avec le journaliste d’Izuba Rirashe
« Dans mon enfance, j’aimais m’adonner à la culture des champs autant que le faisaient mes parents. Puis j’ai monté une petite boutique où je vendais des légumes, le sucre, le savon et autres items. Voyant que cela prospérait, j’ai commencé à vendre l’omelette. (...)

Il commence le commerce en 1983 à 20 ans. « J’avais un souci obsessionnel de faire quelque chose qui changerait les mœurs sociales », confie-t-il à Izuba Rirashe.

Sina Gérard, en Pull over orange s’entretenant avec le journaliste d’Izuba Rirashe

« Dans mon enfance, j’aimais m’adonner à la culture des champs autant que le faisaient mes parents. Puis j’ai monté une petite boutique où je vendais des légumes, le sucre, le savon et autres items. Voyant que cela prospérait, j’ai commencé à vendre l’omelette. Je travaillais 24 sur 24 heures car ma boutique était sur la voie très passante ici à Nyirangarama », a confié Sina au journaliste à qui il a dit que son grand souci du moment était d’acheter une voiture, construire une maison et prendre femme.

Défis
Il montre comment dans son petit commerce, il parvenait à prendre des clients à ses concurrents car il était toujours innovant contrairement à eux.
Mes activités commerciales actuelles ont changé le mode de vie des habitants de Rulindo, notre District. J’emplois 280 agents dont 20 licenciés en sciences diverses. Des étrangers y compris un allemand sont au service de mon usine de Rulindo. Mes produits traversent des espaces pour arriver dans les pays lointains », a indiqué Sina qui utilise en plus 600 journaliers et qui est entré en partenariat avec 3000 ménages de cultivateurs et d’éleveurs qui lui fournissent en denrées et viandes nécessaires à son entreprise.

Œuvres sociales

L’investisseur Sina Gérard sait soigner son look social. Il a construit une école de la maternelle au Tronc commun pour 891 élèves et écoliers dont tous les frais scolaire sont à sa charge. « Mon objectif est qu’en 2018, j’aurai un lauréat possédant le niveau de maîtrise venant de mon école et un PHD en 2020 », confie Sina Gérard.

Sina Gérard dans son champ fruitier, Il sait entrer en partenariat avec les paysans pour fourniture permanente en besoin de son entreprise alimentaire

« Chaque année, je me suis décidé de mettre sur le marché un produit nouveau qui porte en lui-même la quantité de travail des paysans », a-t-il indiqué.


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