L’OLUCOME défie la justice sur l’emprisonnement de Pierre Claver MBONIMPA

Redigé par IGIHE
Le 22 mai 2014 à 04:28

L’OLUCOME s’instruit en faux contre l’emprisonnement de Pierre Claver MBONIMPA, le président de l’APRODH. Au sein de cette association de la société civile burundaise, ils disent que même s’il serait donné un siècle au gouvernement et la justice burundais pour trouver un élément intentionnel pour nuire à la nation burundaise de la part de Pierre Claver MBONIMPA.
Dans un communiqué de l’OLUCOME sorti ce 22 Mai 2014, il est indiqué que Pierre Claver MBONIMPA est emprisonné injustement. Selon Gebriel (...)

L’OLUCOME s’instruit en faux contre l’emprisonnement de Pierre Claver MBONIMPA, le président de l’APRODH. Au sein de cette association de la société civile burundaise, ils disent que même s’il serait donné un siècle au gouvernement et la justice burundais pour trouver un élément intentionnel pour nuire à la nation burundaise de la part de Pierre Claver MBONIMPA.

Dans un communiqué de l’OLUCOME sorti ce 22 Mai 2014, il est indiqué que Pierre Claver MBONIMPA est emprisonné injustement. Selon Gebriel RUFYIRI, les trois éléments qui doivent être réuni pour parler d’infraction ne sont pas réunis pour le cas de Pierre Claver MBONIMPA. Ici, le président de l’OLUCOME a parlé d’élément matériel, moral ou intentionnel et l’élément légal.

Dans ce communiqué l’OLUCOME revient aux révélations que Pierre Claver MBONIMPA a déjà faites. Entre autre, il est soulevé les révélations de 30 personnes tuées à Muyinga en 2006 à l’assassinat des prisonniers de la prison communale de Kinama (la même année). Et toutes ces tueries ont été reconnues par la justice comme ayant eu lieu, a souligné Gabriel RUFYIRI le président de l’OLUCOME.

Lors d’une conférence qu’il a animée ce Jeudi, Gabriel RUFYIRI déclare que Pierre Claver MBONIMPA a toujours fait des dénonciations, des révélations dans le seul but d’informer en avisant les autorités compétentes. De là, le président de l’OLUCOME, Gabriel RUFYIRI a déclaré que même si il serait accordé 100 ans à la justice et au gouvernement burundais pour trouver les preuves justifiant les accusations qui sont portées contre Pierre Claver MBONIMPA, ils n’en trouveront pas.

L’OLUCOME demande aux autorités et à la justice du Burundi de remettre en liberté à Pierre Claver MBONIMPA. Aux Burundais de se mettre ensemble pour former un seul corps et plaider en faveur de ce défenseur des droits de la personne humaine et en contestant son emprisonnement.


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