L’ONU met en garde ceux qui incitent les ’’Imbonerakure’’à la violence

Redigé par IGIHE
Le 11 avril 2014 à 01:04

L’ONU a mis en garde le gouvernement du Burundi, lui demandant de prendre d’urgence des mesures pour apaiser la violence politique et respecter les droits de l’homme, toute en espérant que le gouvernement du Burundi va rapidement et de manière complète traiter la violence politique et des restrictions aux droits de l’homme, a déclaré le porte-parole de l’ONU Stéphane Dujarric.
Dans une correspondance adressée au gouvernement du Burundi, le porte-parole de l’ONU Stéphane Dujarric a mis en garde le (...)

L’ONU a mis en garde le gouvernement du Burundi, lui demandant de prendre d’urgence des mesures pour apaiser la violence politique et respecter les droits de l’homme, toute en espérant que le gouvernement du Burundi va rapidement et de manière complète traiter la violence politique et des restrictions aux droits de l’homme, a déclaré le porte-parole de l’ONU Stéphane Dujarric.

Dans une correspondance adressée au gouvernement du Burundi, le porte-parole de l’ONU Stéphane Dujarric a mis en garde le Burundi que si aucune mesure n’est prise et que de graves violations des droits de l’homme se produisent, ceux qui manipulent les jeunes affiliés aux partis politiques et les incitent à la violence devront rendre des comptes devant la justice internationale.

Le Conseil rappelle sa préoccupation devant les restrictions à la liberté de la presse et aux libertés civiques, dont les libertés d’expression et de rassemblement pacifique. Les 15 membres du Conseil s’inquiètent des actes d’intimidation, de harcèlement et de violence commis par des mouvements de jeunesse.

Ils invitent instamment le gouvernement burundais à lutter contre l’impunité et les partis politiques à condamner publiquement toute violence politique.

Vous saurez que cet avertissement suit d’autres mises en garde récentes de la part du Conseil de sécurité et de l’ambassadrice américaine à l’ONU Samantha Power qui était en visite à Bujumbura, Mme Power avait appelé les autorités burundaises au respect des libertés politiques et de la Constitution, que le pouvoir tente de faire modifier.

Le Conseil de sécurité avait lui aussi fait part, début avril, de son inquiétude devant les tensions persistantes au Burundi.


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