La police qui assiégeait la permanence de l’UPRONA lève l’ancre

Redigé par IGIHE
Le 8 février 2014 à 02:56

Depuis la crise qui secoue le parti UPRONA, la permanence de ce parti dit « Ku Mugumya » a été assiégé par la police. Après toute une semaine de fermeture de cette permanence et de l’Avenue Nicola Mayugi qui passe devant ce bâtiment, la police a levé l’ancre dans la soirée de ce vendredi.
C’est dans la matinée de ce Samedi que les Badasigana se sont réunis pour se réjouir ensemble de la réouverture de leur permanence Nationale. C’est après qu’elle venait de passer presque toute une semaine fermée suite à (...)

Depuis la crise qui secoue le parti UPRONA, la permanence de ce parti dit « Ku Mugumya » a été assiégé par la police. Après toute une semaine de fermeture de cette permanence et de l’Avenue Nicola Mayugi qui passe devant ce bâtiment, la police a levé l’ancre dans la soirée de ce vendredi.

C’est dans la matinée de ce Samedi que les Badasigana se sont réunis pour se réjouir ensemble de la réouverture de leur permanence Nationale. C’est après qu’elle venait de passer presque toute une semaine fermée suite à l’ordre qui aurait été donné par le ministre de l’intérieur Edouard Nduwimana. Les membres du parti UPRONA disent que c’est une victoire de pouvoir à nouveau avoir accès à la permanence de leur parti.
Pour Maître Patrick Nitegeka, le président de la Jeunesse Révolutionnaire Rwagasore(JRR) en Mairie de Bujumbura, il s’agit d’un plaisir d’entrer à nouveau à « Ku Mugumya » sans qu’aucun jeune ou autre membre du parti UPRONA n’ait été blessé. Il dit qu’ils ont été provoqués par certains agents de la police mais qu’ils les ont évités. Maître Patrick Nitegeka demande aux Badasigana de reste calme et faire preuve de retenu en ces moments de crise.

Vous saurez que jusqu’alors, l’UPRONA fait savoir qu’il n’est pas prêt à réintégrer le gouvernement. Avant, l’UPRONA souligne qu’il devra y avoir une redéfinition des missions d’un premier Vice-président de la République. L’état est tel au moment où les Badasigana disent que l’ancien vice-président Bernard Busokoza a été injustement destitué. « Le premier vice-président ne doit pas aller dans le gouvernement pour être comme une fleur », avance les upronistes. Le vice-président doit assurer les fonctions qui lui sont assignées par la constitution burundaise.


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