Le Danois retrouvé avec 21 morceaux d’organes génitaux féminins jugé en Afrique du Sud

Redigé par Jeune Afrique
Le 24 septembre 2015 à 01:07

Le procès du ressortissant danois retrouvé avec 21 morceaux d’organes génitaux féminins dans son frigidaire, accusé d’agressions sexuelles s’est ouvert lundi 21 septembre selon la police sud-africaine.
L’homme propriétaire d’une armurerie et âgé de 58 ans a été arrêté la semaine dernière à Bloemfontein en Afrique du Sud. 21 morceaux d’organes génitaux ont été retrouvés dans son freezer ainsi que des anesthésiants et du matériel chirurgical (ciseaux, scalpels) à son domicile.
Il aurait « drogué ses victimes avant (...)


Le procès du ressortissant danois retrouvé avec 21 morceaux d’organes génitaux féminins dans son frigidaire, accusé d’agressions sexuelles s’est ouvert lundi 21 septembre selon la police sud-africaine.

L’homme propriétaire d’une armurerie et âgé de 58 ans a été arrêté la semaine dernière à Bloemfontein en Afrique du Sud. 21 morceaux d’organes génitaux ont été retrouvés dans son freezer ainsi que des anesthésiants et du matériel chirurgical (ciseaux, scalpels) à son domicile.

Il aurait « drogué ses victimes avant de réaliser des opérations [chirurgicales] illégales sur elles », a indiqué la police dans un communiqué, sans préciser la nature exacte des mutilations ni l’état des victimes.

D’après les médias sud-africains, la découverte a été faite après que sa femme soit allée porter plainte contre lui parce qu’il menaçait de la fusiller avec ses enfants. L’homme est suspecté d’avoir mutilé les femmes vivantes à l’intérieur même de la maison où il vivait avec son épouse et ses deux enfants. Il aurait avoué par le passé à un journaliste se livrer à des mutilations génitales féminines, rapporte la presse sud-africaine.

D’après les pistes de la police, ses victimes pourraient venir du Lesotho, royaume totalement enclavé dans l’Afrique du Sud, situé à une centaine de kilomètres de Bloemfontein. Toujours selon la police, l’homme était également recherché au Danemark pour commerce illégal d’armes à feu.

La police essaye désormais de retrouver les victimes dont le nombre n’a pas encore été déterminé et tente de savoir comme il s’est procuré le matériel médical. Sa prochaine audience aura lieu le 28 septembre et l’homme devrait demander une libération sous caution.


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