Le parquet Géneral de la République juge non fondé la campagne du Mardi vert.

Redigé par Ornella Akimboneza
Le 2 mars 2015 à 03:56

Le parquet Général de la République juge non fondé la campagne Mardi du vert qui a été initié par les organisations de la société civile et celles des professionnelles des Médias.
Agnès Bangiricenge, la porte parole du parquet Général de la République affirme que le ministère Publique trouve que la poursuite de la campagne du mardi vert n’est qu’un prétexte par certaines personnes pour troubler l’ordre publique. Les motifs avancés pour justifier la poursuite de la campagne à savoir la libération définitive (...)

Le parquet Général de la République juge non fondé la campagne Mardi du vert qui a été initié par les organisations de la société civile et celles des professionnelles des Médias.

Agnès Bangiricenge, la porte parole du parquet Général de la République affirme que le ministère Publique trouve que la poursuite de la campagne du mardi vert n’est qu’un prétexte par certaines personnes pour troubler l’ordre publique. Les motifs avancés pour justifier la poursuite de la campagne à savoir la libération définitive du journaliste Bob Rugurika, celle de Pierre Claver Mbonimpa et de Christian Claude Butoyi, mais aussi la justice pour les trois sœurs italiennes assassinées, ne sont pas fondés. Selon Agnès Bangiricenge, le dossier de Bob Rugurika est toujours en instruction comme beaucoup d’autres et suis son cour normal.

Le dossier de Pierre Claver Mbonimpa est déjà fixé au tribunal compétant. Le tribunal programmera son dossier en audience Public en fonction de son rôle, en concluant rien ne serait justifier légalement préférentiel de ces deux prévenus par rapport à d’autres.

Pour ce qui est de Christian Claude Mutoyi, en date du 23 Février 2015 il a été transféré au centre Neuro psychiatrique de Kamenge (CNPK), pour l’expertise. La suite du dossier en ce qui le concerne dépendra du rapport d’expertise, rassure Agnès Bangiricenge.
Quant à l’enquête sur l’assassinat des trois sœurs italiennes, Agnès Bangiricenge rassure qu’il suit son cour normal et le Ministère Public continue d’exploiter toutes les informations mise à sa disposition et en tirera toutes les conséquences juridiques après.


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