La mise en place de structures de gestion transparentes, l’augmentation des superficies consacrées à la culture du café, le recours à la mécanisation agricole et aux engrais. Voila quelques unes des mesures envisagées par la Commission nationale du développement et de l’exportation de l’agriculture (NAEB) pour redynamiser le café rwandais.

Le principal dirigeant de l’institution, Corneille Ntakirutimana, a déclaré que celle-ci entendait générer 157 millions de dollars d’ici 2017 grâce à l’exportation de la denrée. Cette déclaration intervient dans un contexte où le café rwandais est engagé sur une pente descendante depuis bientôt 2 ans

.Il faut noter que cette année, les prévisions estiment que la production rwandaise de café devrait chuter à son niveau le plus bas. La denrée n’avait généré que 60,9 millions de dollars de recettes l’année dernière.

Une situation dont Corneille Ntakirutimana a attribué la responsabilité aux cours de la denrée, qui a connu une baisse au plan mondial.