Le SYGECO se joigne aux cris réclamant la libération de Pierre Claver MBONIMPA

Redigé par IGIHE
Le 30 mai 2014 à 06:39

Le Syndicat Général des Commerçants se joigne aux autres associations de la société civile pour demander la libération sans conditionnement de Pierre Claver MBONIMPA, le président de l’APRODH.
Le président du syndicat SYGECO, Audace BIZABISHAKA a animé une conférence de presse au cours de laquelle il fait part de l’opinion que le SYGECO demande la libération de Pierre Claver MBONIMPA. Audace BIZABISHAKA indique que le président de l’APRODH, Pierre Claver MBONIMPA, actuellement emprisonné dans la prison (...)

Le Syndicat Général des Commerçants se joigne aux autres associations de la société civile pour demander la libération sans conditionnement de Pierre Claver MBONIMPA, le président de l’APRODH.

Le président du syndicat SYGECO, Audace BIZABISHAKA a animé une conférence de presse au cours de laquelle il fait part de l’opinion que le SYGECO demande la libération de Pierre Claver MBONIMPA. Audace BIZABISHAKA indique que le président de l’APRODH, Pierre Claver MBONIMPA, actuellement emprisonné dans la prison centrale de MPIMBA, s’est toujours donné pour les citoyens, ici, il a invoqué l’exemple du rôle que Pierre Claver MBONIMPA a joué quand l’OBR avait confisqué les pagnes aux commerçants du Marché City Market dit Chez Siyoni. Pierre Claver MBONIMPA a aussi beaucoup aidé pour que certaines des femmes vendeuses de pagnes, qui étaient emprisonnée à la BSR, soient libérées.

A partir de cet exemple, le syndicat SYGECO dit qu’ils ont vu en Pierre Claver MBONIMPA, un homme intègre qui n’a pas peur d’intervenir même quand les choses semblent très inquiétantes devant les yeux des autres.

Le syndicat SYGECO demande à la justice burundaise de libérer ce fervent défenseur des droits de l’homme, Pierre MBONIMPA, pour qu’il puisse regagner son service combien important et indispensable pour la population burundaise. Le SYGECO réitère la justice burundaise de faire preuve de diligence pour éviter le pays d’être classé parmi les pays qui violent les droits des défenseurs des droits humains.

En guise de rappel, le président de l’APRODH totalise 13 jours d’emprisonnement à la prison centrale de MPIMBA. Il est accusé de porter atteinte à la sécurité intérieure et extérieure du pays, c’est-à-dire du Burundi et de la République Démocratique du Congo.


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