EAC : Les commerçants demandent plus de facilités aux frontières

Redigé par IGIHE
Le 15 mars 2014 à 09:55

Les acteurs du secteur du commerce de l’EAC (East African Community) sont réunis à Bujumbura pour voir ensemble les problèmes et entravent qui existent en ce qui concerne la circulation des marchandises dans cette région.
Cette réunion organisée par l’Office des Recettes du Burundi s’inscrit dans l’optique d’identifier les entraves à une bonne circulation des marchandises au sein de la Communauté des pays de l’Afrique de l’Est. Cela est indiqué par Frédéric Manirambona, commissaire des douanes à l’OBR. (...)

Les acteurs du secteur du commerce de l’EAC (East African Community) sont réunis à Bujumbura pour voir ensemble les problèmes et entravent qui existent en ce qui concerne la circulation des marchandises dans cette région.

Cette réunion organisée par l’Office des Recettes du Burundi s’inscrit dans l’optique d’identifier les entraves à une bonne circulation des marchandises au sein de la Communauté des pays de l’Afrique de l’Est. Cela est indiqué par Frédéric Manirambona, commissaire des douanes à l’OBR.

Des réunions pareilles ont eu lieu dans les autres pays de la Communauté de l’Afrique de l’Est. Mais, la nouveauté dans celle qui se tient à Bujumbura est que la parole est accordée aux investisseurs pour qu’ils expriment les problèmes qu’ils rencontrent dans la zone de l’EAC.

Frédéric Manirmabona dit que, d’après une étude faite sur le corridor Nord, le temps est réduit pour ceux qui empruntent ce corridor (Mombassa-Kigali-Bujumbura). Ce commissaire de douanes de l’OBR ajoute que les marchandises qui mettaient 15 jours de Mombassa à Bujumbura, actuellement elles ne mettent que 5 jours. Cette rapidité fait aussi que, des fois, les prix soient réduits. Les ateliers et les usines de transformations y enregistrent des bénéfices.

Les commerçants ont une facilité dans leur travail, les marchandises passent aux frontières sans beaucoup de soucis ce qui donne par la suite aux consommateurs la facilité d’accès aux produits. Pour le moment, les conducteurs des véhicules remorques qui effectuaient une seule voyage par mois peuvent en faire 3 par mois.

Parmi les problèmes relevés figurent celui des ordinateurs de l’OBR qui tombent en panne et celui des coupures de l’électricité. A ces défauts, à l’OBR disent que le problème de coupure à trouver solution. En effet, l’OBR a disponibilité des groupe électrogène pour prendre le relève en cas de coupure de courant. Les commerçants qui ont participé à cette réunion ont demandé de bénéficier de facilité sur les frontières


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