Les relations commerciales avec la France rapportent dix millions US $

Redigé par IGIHE
Le 10 octobre 2012 à 08:27

Kigali : Les relations commerciales entre le Rwanda et la France rapportent dix millions US $ et l’on envisage de les étendre et de les diversifier, selon Tony Nsanganira, Directeur Général adjoint de l’Office Rwandais pour le Développement (RDB).
“Nous échangeons aujourd’hui avec les délégués de six enterprises représentant le Secteur Privé Français. Ils sont au Rwanda pour explorer les opportunités de lier des partenariats aqvec des Rwandais pour investir dans notre pays”, a-t-il indiqué.
Il a tenu (...)

Kigali : Les relations commerciales entre le Rwanda et la France rapportent dix millions US $ et l’on envisage de les étendre et de les diversifier, selon Tony Nsanganira, Directeur Général adjoint de l’Office Rwandais pour le Développement (RDB).

“Nous échangeons aujourd’hui avec les délégués de six enterprises représentant le Secteur Privé Français. Ils sont au Rwanda pour explorer les opportunités de lier des partenariats aqvec des Rwandais pour investir dans notre pays”, a-t-il indiqué.

Il a tenu ces propos en marge des discussions avec les représentants de six enterprises françaises que sont Apitech, Diffuselic, Novafrica developments ; M. target EAC ; et deux autres. Ces enterprises veulent investir dans differents secteurs, dont l’ICT, l’Eau et assainissement, ainsi que l’énergie.

“Nous évaluons la qualité et le coût des services propres et nous verrons si le Rwanda a des avantages à tirer de ces partenariats. C’est une première mission exploratoire animée d’une forte volonté de travailler au Rwanda. Ensuite ces hôtes français recueilleront plus d’informations pour des projets à lancer”, a poursuivi Nsanganira.

Il a rappelé que cette visite répond aux recommandations formulées lors de la dernière visite du Président Kagame en France.

Le Directeur Général adjoint de RDB a relevé les défis liés à la terre, l’électricité, les infranstructures routières et autres. RDB accompagne ces investisseurs, leur accorde le soutien nécessaire pour donner des réponses aux problemes rencontrés.

Chaque année, RDB enregistre cent projets d’ivestissements au Rwanda.

Les fonds initiaux pour lancer l’entreprise demeurent un obstacle pour les investisseurs. Souvent la ramification des fonds s’avère lente et difficile, surtout que ces fonds proviennent des autres bailleurs ou des autres projets.

“C’est un retard qui nuit à notre rythme de développement et qui handicape nos prévisions pour la croissance”, a encore confié Nsanganira.

Clickez icipour lire la suite sur le site de l’Agence Rwandaise d’Information


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