Tout burundais devrait prendre part dans ce combat de lutte contre le SIDA

Redigé par IGIHE
Le 1er décembre 2014 à 05:22

Tout burundais a sa part de travail pour lutter contre le VIH/SIDA dans notre pays et mettre un terme à toute transmission mère-enfant, indique la Représentant du centre ANSS, Madame Jeanne GAPIYA.
Au moment ou le monde entier célèbre la journée de lutte contre le VIH/SIDA, en date du 1er Décembre de chaque année, le centre ANSS a organisé ce lundi, une journée portes ouvertes sous le thème :’’Ensemble pour combler l’écart pour l’élimination du VIH de la mère à l’enfant et l’accès aux ARV d’ici 2015’’ (...)

Tout burundais a sa part de travail pour lutter contre le VIH/SIDA dans notre pays et mettre un terme à toute transmission mère-enfant, indique la Représentant du centre ANSS, Madame Jeanne GAPIYA.

Au moment ou le monde entier célèbre la journée de lutte contre le VIH/SIDA, en date du 1er Décembre de chaque année, le centre ANSS a organisé ce lundi, une journée portes ouvertes sous le thème :’’Ensemble pour combler l’écart pour l’élimination du VIH de la mère à l’enfant et l’accès aux ARV d’ici 2015’’

Comme l’a indiqué la représentante du centre’’TURIHO’’ un des branches de l’ANSS, Madame Libérât Ndayizeye, cette journée est une occasion pour rappeler à la population burundaise que le SIDA est toujours dans nos foyers, dans notre pays et que nul ne peut faire le sourde d’oreille face à ce fléaux, qui emporte chaque année des vies humaines.

Cette journée portes ouvertes est egalement une occasion pour présenter à tous les visiteurs les activités qui se trouvent dans ce centre pour lutter contre le SIDA et surtout prendre en charge les seropositifs.

Dans son allocution, la représentante du centre ANSS, Jeanne GAPIYA a fait savoir que cette journée n’est pas pour célébrer mais plus tôt de rappeler à tout burundais que le SIDA est toujours la et que la part de chacun est nécessaire pour pouvoir l’éradiquer définitivement. Madame Jeanne GAPIYA a appelé tous les hommes à prendre leur responsabilités surtout pour protéger leurs foyers au lieu de laisser tout le travail aux femmes.

Jeanne Gapiya a egalement appelé les femmes enceintes à faire suivre leurs grossesses pour éviter de contaminer leurs enfants et au Gouvernement du Burundi, de mettre à la disposition de ces centres les médicaments’’troisième ligne’’ pour essayer de sauver ceux qui sont atteints. Aucune personne ne devrait succomber à cause de ce fléau alors que les médicaments sont disponibles, annonce Madame Jeanne GAPIYA.


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