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La génération actuelle peut faire autant sinon plus- Tito Rutaremara

Redigé par IGIHE
Le 13 juillet 2022 à 03:53

La tendance a comparé, à critiquer la génération suivant la sienne est vieille comme le monde. Néanmoins, on ne sait pas toujours sur quelle base on fait ces comparaisons ou sur quels critères on s’appuie pour critiquer.

Bien souvent on s’apercevra que qu’on se réfère à des normes qui ne sont plus en vigueur.

On ferait donc un effort de tenir compte du contexte générationnel pour sortir de ces facilites. C’est ce qu’offre la conversation avec Honorable Tito Rutaremara.

La jeunesse de la génération des années 1990 s’est sacrifiée pour libérer le pays.

Vingt huit ans après, on remarque encore la part de la jeunesse dans les défis que doit relever le pays.

Dans un entretien avec la radio one station, Hon Rutaremara est revenu longuement sur le rôle de la jeunesse dans la libération du Rwanda.

Pour lui la libération fait référence a l’asservissement d’une grande partie de la population qui a besoin de se libérer du joug qui les oppresse. A titre d’exemple il a cité la pauvreté, l’ignorance et bien d’autres fléaux.

Il a indiqué que pendant la guerre de libération, la jeunesse s’est beaucoup investi dans la réflexion, la recherche des solutions dans cette marche vers la libération.

Ceci devrait servir de modèle d’inspiration à la jeunesse actuelle qui peut mener la bataille de préserver et renforcer les acquis.

Il suffit qu’ils intègrent qu’ils en sont capables, qu’ils peuvent se donner les lignes directrices et qu’ils soient disciplinés dans l’exécution. Ce n’est pas une affaire des autres ou des ainés, mais bien de tous en commençant par la jeunesse qui doit s’approprier le devenir du pays.

Pour ce faire, la jeunesse a besoin de s’engager politiquement, se distinguer et être caractériser par les valeurs, intégrer la citoyenneté dans leurs actions du quotidien.

Pour sa part, l’Ambassadrice du Rwanda aux Etats Unis, Matilde Mukantabana a souligné le fait que la marche de la libération est un chemin continu.

Il est vrai que le force de la jeunesse est mesurable sur la base de son engagement, sa résilience aux traumatismes et ses réalisations.

Etant entendu que les problèmes qui touchent une génération ne sont pas les mêmes que ceux de la génération précédente encore moins de la suivante d’ailleurs.

En observant les conditions de vie, on remarque que le niveau d’éducation et l’amélioration des conditions d’existence à chaque génération.

Tito Rutaremara dit que la jeunesse doit s’approprier les défis du pays

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