Ce 3 Mai 2013, nous célébrons la Journée Mondiale de la liberté de la presse. Le Gouvernement du Rwanda continue de promouvoir des garanties pour la liberté et l’indépendance de la presse et la réalisation de son engagement à promouvoir la responsabilisation et favoriser la participation du public dans l’environnent médiatique.

“La promulgation des lois connexes a la loi sur la presse, elle-même révisée, dont la loi sur l’accès à l’information, est un témoignage de la détermination du Rwanda à promouvoir l’indépendance des médias et l’accès à l’information en tant que l’un des piliers essentiels de la bonne gouvernance et les conditions préalables pour le développement durable économique, social et politique " , a déclaré James Musoni, Ministre de l’Administration locale ayant en charge des médias.

Les éléments clés de la nouvelle loi sur les médias comprennent entre autre la reconnaissance publique de l’autorégulation des medias rwandais. L’article 4 prévoit désormais que l’organe de régulation des médias réglementera la déontologie et l’éthique des journalistes. Cet organe interne aux journalistes établit également des normes professionnelles pour les intervenants dans le secteur médiatique, a souligné le Ministre.

Le Ministre Musoni a, en cette journée internationale de la presse, insiste sur l’engagement du gouvernement à soutenir le développement d’une presse libre, dynamique et responsable.

« Nous sommes déterminés à tirer profit des progrès des technologies de l’information et communication modernes pour que ses publications puissent être a la portée de chaque citoyen qui devient connecté au réseau d’information mondiale.

Notre intention est de soutenir le développement d’un environnement médiatique sensible à notre passé, réagissant à l’heure actuelle et prenant en compte le fait que nous travaillons pour offrir un meilleur avenir pour tous les Rwandais », a-t-il indiqué exprimant ainsi les vues du gouvernement rwandais qui souhaite une presse ‘friendly’ participant aux efforts de création des richesses de l’Etat rwandais lancé sur une vitesse parfaitement insoutenable pour la plupart des citoyens rwandais prostrés dans une paresse intellectuelle et dans ses efforts physiques minimum pour la production de ces richesses sociales.