Les démocraties Occidentales financent leur presse et opposition politique ce qu’elles défendent aux régimes africains

Redigé par ndj
Le 20 décembre 2013 à 10:06

Outre le Canada, la France finance également la presse privée et les partis de l’opposition. Cette démarche interpelle les pouvoirs africains qui devraient se départir du sentimentalisme et du mode de fonctionnement qui s’écarte de toute rationalité.
Il existe bel et bien le partenariat du gouvernement et de la presse en France. Tous les media de France reçoivent un financement consistant de l’argent public.
Le contribuable français paie aussi les acteurs politiques de l’opposition. Les opposants (...)


Outre le Canada, la France finance également la presse privée et les partis de l’opposition. Cette démarche interpelle les pouvoirs africains qui devraient se départir du sentimentalisme et du mode de fonctionnement qui s’écarte de toute rationalité.

Il existe bel et bien le partenariat du gouvernement et de la presse en France. Tous les media de France reçoivent un financement consistant de l’argent public.

Le contribuable français paie aussi les acteurs politiques de l’opposition. Les opposants politiques travaillent aussi dans l’intérêt du peuple. Ils doivent donc être rémunérés par le peuple.

La démocratie occidentale en est venu à comprendre cette nécessité d’assurer aux journalistes et aux opposants politiques des stipendes sans quoi tout ce beau monde de la société démocratisée au 20eme siècle mourrait fatalement de faim et de froid.

« Un réaménagement des aides à la presse est indispensable. (...) Il faut mettre un terme à un système qui fait que les plus riches sont les plus aidés, et les plus pauvres les plus délaissés. (...) La réforme des aides à la presse devrait également mieux différencier la nature des titres et ne pas traiter de la même façon la presse politique et d’informations générales et la presse récréative. Elle devrait distinguer, en particulier en matière d’aides postales, la presse bénéficiant d’un fort volume de publicités et celle qui en est dépourvue », rapporte le mensuel fraqnçais Le Monde Diplomatique d’Octobre 2013.

Financer la presse et l’opposition politique au Rwanda à partir de l’argent du contribuable serait-il synonyme de leur embrigadement par l’Exécutif ?

Pourquoi les associations internationales d’activistes des droits humains sont contre ce mode d’application du moment que ces aides seraient un droit accordé à ces acteurs de la société civile qui serait strictement rwandaise ?

C’est tout un débat qjui devrait être lancé.


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