10 témoignages incroyables de personnes qui ont survécu à l’attaque d’un prédateur.

Redigé par IGIHE
Le 21 février 2016 à 07:53

L’homme a beau représenter l’espèce animale la plus avancée, cela ne fait pas de lui un être invincible – surtout face à des crocs aiguisés comme des rasoirs et à un appétit certain pout la chair humaine. Pourtant, certains ont pu (tout juste) s’en sortir. Voici leur histoire.
Todd Endris – Un requin En 2007, ce surfeur de 24 ans a vécu un scénario digne des “Dents de la mer” lorsqu’un grand requin blanc l’a attaqué non loin de Monterey, en Californie. Le coup de poing reçu en pleine face – eh oui, Todd (...)

L’homme a beau représenter l’espèce animale la plus avancée, cela ne fait pas de lui un être invincible – surtout face à des crocs aiguisés comme des rasoirs et à un appétit certain pout la chair humaine. Pourtant, certains ont pu (tout juste) s’en sortir. Voici leur histoire.

Todd Endris – Un requin

En 2007, ce surfeur de 24 ans a vécu un scénario digne des “Dents de la mer” lorsqu’un grand requin blanc l’a attaqué non loin de Monterey, en Californie. Le coup de poing reçu en pleine face – eh oui, Todd Endris a vraiment fait ça – n’a pas empêché l’animal de le mordre à plusieurs reprises. Si profondément que l’on pouvait entrevoir ses poumons.
Si le jeune homme a eu la vie sauve, c’est parce qu’un banc de dauphins évoluant à proximité lui a porté secours, attaquant le gros poisson et formant une barrière protectrice autour de la victime, lui permettant ainsi de gagner le rivage.

Paul Templer – Un hippopotame

Cet ancien guide de rivière connaissait bien son agresseur, pour l’avoir aperçu plusieurs fois lors de ses descentes du Zambèze avec des touristes. Quand l’hippopotame l’a pratiquement avalé, il a eu l’impression d’être “tout à coup devenu sourd et aveugle”.
Il est parvenu à se dégager quelques instants, avant que l’animal ne le rattrape pour l’entraîner au fond du fleuve. Avant de plonger, Dieu seul sait pourquoi, l’hippopotame a décidé de glisser en surface et de recracher sa proie. Grièvement blessé – plus de 40 plaies et une seule main encore valide –, Paul Templer s’est alors mis à nager avec l’énergie du désespoir jusqu’au kayak d’un autre guide.

L’homme a gagné la bataille mais perdu son bras gauche, que les médecins ont dû amputer.

Avec yahoo.fr


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