Coiffer la Sainte Catherine peut paraître normal. Bien souvent, ce sont les filles elles-mêmes qui sont responsables du manque d’un éventuel mari. Ceci a été un sujet de débat quand un des cybernautes de Facebook a publié sur son statut : « Les filles restent souvent célibataires par leur faute ? »

Apres avoir rassemblé les différentes opinions, il a été remarqué que cette assertion est vraie.

 Ujeneza : « si elles sont orgueilleuses, elles risquent de coiffer la sainte Catherine ».

-Umugisha : « se faire une idée fixe de l’homme avec lequel elles voudraient vivre, donc d’un type parfait, qui est souvent fictif, et qu’elles continuent à attendre mais en vain ».

 Muhire : « La plupart des fois, ça dépend de comment la fille se prend en estime, en se surestimant, elle rate des chances de se marier, soi-disant qu’elle attend un Apollon ».

-Mbabazi : « Cela se passe souvent quand la fille vise plus haut que son niveau alors que ceux qu’elle veut ne lui accordent même pas un regard ».

 Gisèle :« les filles riches sont celles qui coiffent souvent la sainte Catherine ».

-Nteziryayo : « Sur 100 filles, au moins 80 qui restent vieilles filles y sont pour quelque chose, parce qu’elles refusent les avances des jeunes hommes en attendant un prince charmant souvent fictif tel qu’elles l’ont imaginé ».

 Festus : « Les filles pensent que c’est aux garçons de faire le premier pas, il n y a pas d’expert en amour, il ne faut donc pas qu’elles s’en targuent ».

-Bijoux a réagi aux dires de festus : « Festus, comment considérerais-tu une fille qui viendrait te dire la première qu’elle t’aime ? Ne la rabaisserais-tu pas ?cela est considéré comme tabou pour une fille de dire à un garçon qu’elle l’aime, mais les filles ne sont-elles pas aussi des êtres humains capables d’aimer ?

 Munezero de conclure : « une fille doit elle être aimée, sans aimer à son tour ?, déclarer sa flamme à un garçon n’est pas dévier du chemin de la culture, car la culture elle même prêche l’amour mutuel, l’amour n’est pas un état d’âme individuel, mais collectif. »