Ban Ki-moon appelle à négocier pour mettre fin au conflit en Syrie

Redigé par Alida SABITEKA
Le 23 janvier 2014 à 12:47

Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a appelé ce mercredi 22 janvier les délégations de l’opposition et du gouvernement syrien à négocier afin de mettre fin au conflit dans leur pays.
Lors d’une conférence de presse tenue à l’issue d’une journée de réunion tenue à Montreux, une ville touristique dans le sud-ouest de la Suisse, à laquelle ont pris part les représentants d’une quarantaine de pays et d’organisations, Ban- Ki-Moon a indiqué qu’il était temps de négocier.
Il a souligné que leur (...)

Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a appelé ce mercredi 22 janvier les délégations de l’opposition et du gouvernement syrien à négocier afin de mettre fin au conflit dans leur pays.

Lors d’une conférence de presse tenue à l’issue d’une journée de réunion tenue à Montreux, une ville touristique dans le sud-ouest de la Suisse, à laquelle ont pris part les représentants d’une quarantaine de pays et d’organisations, Ban- Ki-Moon a indiqué qu’il était temps de négocier.

Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon,

Il a souligné que leur but est d’envoyer un message aux deux délégations syriennes et au peuple syrien pour dire que le monde veut une fin immédiate du conflit, affirmant qu’il allait rencontrer les deux délégations syriennes jeudi.

Après la réunion à Montreux, les délégations de l’opposition et du gouvernement syrien doivent se déplacer vers Genève pour les négociations auxquelles prendra également part l’émissaire conjoint de l’ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie, Lakhadar Brahimi.

En juin 2012, le secrétaire général de l’ONU et celui de la Ligue arabe, les ministres des Affaires étrangères de la Chine, de la France, de la Russie, de la Grande-Bretagne, des Etats-Unis, de la Turquie, de l’Irak, du Koweït et du Qatar, ainsi que la Haute Représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité s’étaient réunis à Genève en tant que Groupe d’action pour la Syrie, sous la présidence de l’émissaire conjoint de l’ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie. Cette réunion a été baptisée "Genève I".

Cependant, à cause de profondes divergences entre les parties intéressées, notamment l’attitude de l’opposition syrienne, l’ouverture de Genève II tant attendue avait été reportée à plusieurs reprises.


Publicité

AJOUTER UN COMMENTAIRE

REGLES D'UTILISATIONS DU FORUM
Publicité