Nina Iliza, une rescapée du génocide vivant aux États-Unis après le génocide de 1994, envie les personnes qui ne se souviennent du génocide que pendant le mois d’Avril uniquement prévu pour la commémoration, dans son article du Huffington Post du dimanche 23 mars.

« Lorsque j’entends les mots, écris-t-elle, n’oublie jamais, je me demande dans mes pensées ‘comment puis-je ?’ »

Iliza fait référence à une attention particulière et à une insistance sur le thème du génocide perpétré contre le Tutsi sous forme de films, de livres publiés, d’interventions publiques, etc.

Nina Iliza a perdu sa mère et tous les membres de sa famille lors du génocide de 1994 sous une violence sans nom et une torture morale l’a jusqu’à présent poursuivi.

Pourtant, elle fait figure d’une jeune femme qui s’est armée du courage pour regarder vers l’avant.

Immédiatement après le génocide en 1994, elle a émigré aux Etats-Unis ou elle s’est intègre au sein de la communauté américaine par le travail.

Grâce à son expertise de la planification des événements, elle a commencé une organisation à but non lucratif qui collecte de fonds au profit des enfants de la rue et des orphelins Rwandais.

L’organisation, The Heart of a Thousand est née de sa passion de rassembler les gens et son envie de donner à son pays d’origine.

The Heart of a Thousand s’emploie à fournir des fournitures scolaires et des uniformes pour les enfants des rues et les orphelins rwandais, mais au-delà des besoins matériels l’organisation a comme objectif d’inspirer la réussite et l’excellence.