Fou amou­reux, Eric Clap­ton avait supplié Mick...

Redigé par Voici.fr
Le 4 mars 2015 à 12:38

Fou amou­reux, Eric Clap­ton avait supplié Mick Jagger de ne pas lui piquer Carla Bruni…
« Pas elle Mick, je l’aime  ! »
Fou amou­reux, Eric Clap­ton avait supplié Mick Jagger de ne pas lui piquer Carla Bruni… Le jour où Carla Bruni l’a supplié de lui présen­ter son ami Mick Jagger, Eric Clap­ton aurait mieux fait de se casser la jambe. Sans aucune pitié pour son ami, Mick Jagger lui a piqué sa girl­friend.
L’uni­vers des rock stars peut être impi­toyable. Autour d’elles gravitent les plus belles filles de (...)

Fou amou­reux, Eric Clap­ton avait supplié Mick Jagger de ne pas lui piquer Carla Bruni…

« Pas elle Mick, je l’aime  ! »

Fou amou­reux, Eric Clap­ton avait supplié Mick Jagger de ne pas lui piquer Carla Bruni…
Le jour où Carla Bruni l’a supplié de lui présen­ter son ami Mick Jagger, Eric Clap­ton aurait mieux fait de se casser la jambe. Sans aucune pitié pour son ami, Mick Jagger lui a piqué sa girl­friend.

L’uni­vers des rock stars peut être impi­toyable. Autour d’elles gravitent les plus belles filles de la planète et si les draguer n’est pas diffi­cile, les garder semble plus compliqué. Surtout lorsque l’on tombe vrai­ment amou­reux…

Eric Clap­ton en a fait la doulou­reuse expé­rience à la fin des années 80 lorsqu’il a succombé aux charmes de Carla Bruni, alors superbe mannequin d’une ving­taine d’an­nées. Dans Mother­less Child, Biogra­phy of Eric Clap­ton, le chan­teur confie à quel point son amour pour Carla Bruni a frôlé « l’ob­ses­sion ».

Un coup de cœur, certes partagé, mais pas avec la même inten­sité. « Alors que Clap­ton était visi­ble­ment dingue d’elle, la glaciale Carla Bruni ne montrait aucun signe que cette histoire était pour elle plus qu’un simple coup de cœur », note ainsi Paul Scott, l’au­teur de la biogra­phie.

Eric Clap­ton souffre à cette époque de la quasi indif­fé­rence de la top. Le biographe se souvient ainsi que le musi­cien, après une très longue tour­née qui l’avait emmené du Mozam­bique au Bots­wana, n’avait eu qu’une idée en tête : rejoindre Carla qui se repo­sait en famille à Saint-Tropez. « Elle n’était pas heureuse de le voir et a été extrê­me­ment froide avec lui », rapporte Paul Scott.

Mais Eric Clap­ton s’ac­croche. Et lorsque Carla lui demande, en octobre 1990, de lui présen­ter Mick Jagger, le musi­cien ne peut pas lui refu­ser. « Eric Clap­ton, évidem­ment, connais­sait la répu­ta­tion sulfu­reuse de Mick, qui accu­mu­lait les conquêtes. Il savait égale­ment que Mick n’avait aucun scru­pule à voler les petites amies des autres. »

Fou amou­reux, Eric Clap­ton avait supplié Mick Jagger de ne pas lui piquer Carla Bruni…

« Pas elle Mick, je l’aime  ! »

Inquiet, mort de trouille à l’idée de perdre Carla, Eric Clap­ton s’est pour­tant résolu à faire les présen­ta­tions lors d’une soirée donnée après un concert à New York. Sentant le danger poindre, il demande à Mick de s’as­seoir pour lui parler. « S’il te plaît Mick, le supplie-t-il, pas celle-là, je crois que je l’aime  ! » En pure perte.

Quelques jours plus tard, Eric Clap­ton, effon­dré, apprend par une amie commune que Carla Bruni et Mick Jagger ont entamé une rela­tion passion­nelle, qui durera sept ans et dont Jerry Hall, la femme du chan­teur des Stones, sera égale­ment une victime colla­té­rale.

Eric Clap­ton a mis plus d’une année à s’en remettre.

Des décen­nies plus tard, il écrit dans ses mémoires : « Avec le recul, j’ai éprouvé de la recon­nais­sance et de la compas­sion pour Mick. De la recon­nais­sance pour m’avoir déli­vré d’une histoire vouée à l’échec et de la compas­sion pour avoir appa­rem­ment beau­coup souf­fert en compa­gnie de cette femme. » Ah oui, ce n’est toujours pas digéré en fait…


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