Gambie : la détresse des familles des disparus

Redigé par igihe
Le 11 février 2017 à 11:51

En Gambie, le départ en exil de Yahya Jammeh marque la fin de 22 ans de dictature. Vingt-deux années de répression contre des hommes politiques, des leaders d’opinion, des personnalités de la société civile et des journalistes. Le pays tourne une page douloureuse de son histoire. Bon nombre de familles restent plongées dans le traumatisme d’avoir perdu un proche. C’est le cas de Chief Ebrima Manneh, journaliste qui a été arrêté le 7 juillet 2006 par l’agence des renseignements, la NIA. Voilà dix ans que (...)

En Gambie, le départ en exil de Yahya Jammeh marque la fin de 22 ans de dictature. Vingt-deux années de répression contre des hommes politiques, des leaders d’opinion, des personnalités de la société civile et des journalistes. Le pays tourne une page douloureuse de son histoire. Bon nombre de familles restent plongées dans le traumatisme d’avoir perdu un proche. C’est le cas de Chief Ebrima Manneh, journaliste qui a été arrêté le 7 juillet 2006 par l’agence des renseignements, la NIA. Voilà dix ans que sa famille multiplie les démarches pour connaître la vérité sur sa disparition. Pourtant, en juin 2008, un arrêt de la Cour de Justice de la Cédéao recommande la libération du journaliste. Le Reportage Afrique auprès de sa famille, dans le village de Lamin.

Avec rfi.fr


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