Selon une étude annuelle du service statistique des ministères sociaux, la Drees basée sur les données des établissements de santé et les remboursements de l’Assurance Maladie en 2017, le nombre d’IVG en France est stable. Il est de 216 000, soit un IVG pour 4 grossesses environ. L’étude pointe le doigt sur de nombreuses disparités géographiques et nous indique que les femmes de 20 à 24 ans sont celles qui avortent le plus.
SELON LES RÉGIONS ET LES ÂGES, LES CHIFFRES DE L’IVG VARIENT DU SIMPLE AU DOUBLE
Dans les Pays de la Loire, l’IVG est de 10,2 pour 1000 femmes, contre 20,8 pour 1000 sur la Côte d’Azur. Ce sont dans les DOM TOM que les chiffres sont les plus élevés avec 33 IVG pour 1000 femmes en Guadeloupe.
Selon l’étude de la Drees, c’est du côté des mineures que les disparités sont les plus grandes, elles sont entre 13,6 et 18,3 pour 1000 à se faire avorter dans les DOM TOM. Des chiffres largement plus élevés qu’en métropole où ils oscillent entre 4,0 et 8,8 pour 1000. Cela dit, l’étude note une baisse des IVG de mineures, avec une moyenne globale de 6,3 pour 1000.
Le taux d’IVG le plus élevé est chez les femmes de 20 à 24 ans. La moyenne française est de 14,4 pour 1000, alors que pour cette tranche d’âge les chiffres sont nettement plus élevés et atteignent 26,7 pour 1000 femmes.
LES IVG MÉDICAMENTEUSES EN TÊTE
Les IVG médicamenteuses sont en nette progression. Elles peuvent être pratiquées jusqu’à la 7ème semaine de grossesse (contre 12 semaines sur un IVG chirurgical) et en dehors des hôpitaux. Elles sont autorisées chez les médecins libéraux, dans les centres de santé, centre de planification et d’éducation familiale, et auprès des sages-femmes.
En 2001, un tiers des avortements était de type médicamenteux, contre deux tiers chirurgicaux. Aujourd’hui la tendance a radicalement changé, 59% des IVG en hôpital sont médicamenteuses (contre 10% en 1992). Et 22% des IVG sont pratiquées en dehors de l’hôpital, et sont donc de type médicamenteux. Dix-sept ans plus tard, c’est tout l’inverse de 2001 : deux tiers des avortements se font via des médicaments.Selon une étude annuelle du service statistique des ministères sociaux, la Drees basée sur les données des établissements de santé et les remboursements de l’Assurance Maladie en 2017, le nombre d’IVG en France est stable. Il est de 216 000, soit un IVG pour 4 grossesses environ. L’étude pointe le doigt sur de nombreuses disparités géographiques et nous indique que les femmes de 20 à 24 ans sont celles qui avortent le plus.
SELON LES RÉGIONS ET LES ÂGES, LES CHIFFRES DE L’IVG VARIENT DU SIMPLE AU DOUBLE
Dans les Pays de la Loire, l’IVG est de 10,2 pour 1000 femmes, contre 20,8 pour 1000 sur la Côte d’Azur. Ce sont dans les DOM TOM que les chiffres sont les plus élevés avec 33 IVG pour 1000 femmes en Guadeloupe.
Selon l’étude de la Drees, c’est du côté des mineures que les disparités sont les plus grandes, elles sont entre 13,6 et 18,3 pour 1000 à se faire avorter dans les DOM TOM. Des chiffres largement plus élevés qu’en métropole où ils oscillent entre 4,0 et 8,8 pour 1000. Cela dit, l’étude note une baisse des IVG de mineures, avec une moyenne globale de 6,3 pour 1000.
Le taux d’IVG le plus élevé est chez les femmes de 20 à 24 ans. La moyenne française est de 14,4 pour 1000, alors que pour cette tranche d’âge les chiffres sont nettement plus élevés et atteignent 26,7 pour 1000 femmes.
LES IVG MÉDICAMENTEUSES EN TÊTE
Les IVG médicamenteuses sont en nette progression. Elles peuvent être pratiquées jusqu’à la 7ème semaine de grossesse (contre 12 semaines sur un IVG chirurgical) et en dehors des hôpitaux. Elles sont autorisées chez les médecins libéraux, dans les centres de santé, centre de planification et d’éducation familiale, et auprès des sages-femmes.
En 2001, un tiers des avortements était de type médicamenteux, contre deux tiers chirurgicaux. Aujourd’hui la tendance a radicalement changé, 59% des IVG en hôpital sont médicamenteuses (contre 10% en 1992). Et 22% des IVG sont pratiquées en dehors de l’hôpital, et sont donc de type médicamenteux. Dix-sept ans plus tard, c’est tout l’inverse de 2001 : deux tiers des avortements se font via des médicaments.
avec topsante.com
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