Le FORSC et certains médias burundais lancent une pétition

Redigé par IGIHE
Le 2 juin 2014 à 09:01

Les associations de la société civile réunie au sein du FORSC ainsi que les associations des professionnelles des médias ont lancé officiellement une pétition. Elles exigent un des enquêtes sur une probable distribution des armes aux Imbonerakure ainsi que des entrainements paramilitaires des jeunes burundais en RDC.
Comme indiqué par le président du Forum pour le Renforcement de la société civil (FORSC), Me Vital NSHIMIRIMANA, cette pétition a pour objet d’exiger des enquêtes urgentes, indépendantes (...)

Les associations de la société civile réunie au sein du FORSC ainsi que les associations des professionnelles des médias ont lancé officiellement une pétition. Elles exigent un des enquêtes sur une probable distribution des armes aux Imbonerakure ainsi que des entrainements paramilitaires des jeunes burundais en RDC.

Comme indiqué par le président du Forum pour le Renforcement de la société civil (FORSC), Me Vital NSHIMIRIMANA, cette pétition a pour objet d’exiger des enquêtes urgentes, indépendantes et crédibles sur les allégations d’une distribution des armes à feu aux Imbonerakure, ainsi que sur la constitution d’une milice armée et d’entrainement paramilitaire en RDC.

Vital NSHIMIRIMANA, Président du FORSC

Pour ceux, le FORSC ainsi que les associations des professionnels des médias ont lancé un appel à tout citoyen burundais qui souhaite des enquêtes sur ces deux sujets concernés par cette pétition, de signer ce document pour exiger ces enquêtes .

Cette pétition, comme l’a souligné Vital NSHIMIRAMANA, elle sera envoyée au Président de la RDC, au Président de la République du Burundi, au Président en exercice de l’Union Africaine, au Secrétaire Général des Nations Unies.

La signature de cette pétition s’étant sur une durée de 15 jours à partir de ce lundi 2 juin 2014. L’apposition des signatures prendra fin le 16 Juin 2014 à 17h30. Cette pétition est disponibilité aux bureaux de différentes associations, à Bujumbura comme à l’intérieure du pays, ainsi que au siège de différentes radio émettant au Burundi, a-il-signalé Me Vital NSHIMIRIMANA, président du FORSC.


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