Le Secteur privé rwandais : un début d’effervescence économique

Redigé par Emmanuel Kwizera
Le 3 mai 2013 à 03:22

Les opérateurs économiques rwandais indiquent qu’ils travaillent jour et nuit sans relâche y compris pendant les jours fériés parce qu’ils ont du gros travail dans la création des richesses sociales. Ils déclarent qu’ils sont prêts à travaillent 24 sur 24 heures mais qu’ils ne sont pas sollicités les heures de la nuit.
Le micro trottoir d’IGIHE tendu aux commerçants révèle : “Je ne peux pas me comporter comme un agent de la Fonction Publique qui ferme ses bureau vendredi pour revenir lundi matin. Qu’est ce (...)

Les opérateurs économiques rwandais indiquent qu’ils travaillent jour et nuit sans relâche y compris pendant les jours fériés parce qu’ils ont du gros travail dans la création des richesses sociales. Ils déclarent qu’ils sont prêts à travaillent 24 sur 24 heures mais qu’ils ne sont pas sollicités les heures de la nuit.

Le micro trottoir d’IGIHE tendu aux commerçants révèle : “Je ne peux pas me comporter comme un agent de la Fonction Publique qui ferme ses bureau vendredi pour revenir lundi matin. Qu’est ce que je produirai dans ce cas ? Ce travail de photocopiage, nous voulons l’étendre partout dans le pays. C’est un travail de sans repos », confie Japhet Mukeshimana.

Pour Madoudou qui fait dans la friperie, « Moi, je travaille entre 14 et 17 heures par jour pour que je puisse gagner davantage".

Odette vend le poisson. Elle avoue pouvoir travailler sans repos si elle pouvait être sollicitée durant toutes les heures du jour.

En ville de Kigali, on y constate une sorte d’effervescence et une recherche effrénée du profit. Mais les activités économiques sont loin d’être foisonnantes. Aux économistes de diagnostiquer.


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