Nicolas Sarkozy et Carla Bruni en deuil

Redigé par Non Stop People
Le 25 septembre 2014 à 12:36

Alors que plusieurs obstacles se sont déjà dressés à l’encontre du retour en politique de l’ex-président, l’un de ses plus proches collaborateurs est décédé. Le couple a assisté à son éloge funèbre.
Depuis son retour annoncé vendredi dernier sur son compte Facebook et sa stratégie de reconquête lancée dès le surlendemain au 20h de France 2, Nicolas Sarkozy a rentré plusieurs difficultés. Mais il s’agit là d’une toute autre épreuve. Le nouveau prétendant à la présidence de l’UMP s’est en effet rendu en (...)


Alors que plusieurs obstacles se sont déjà dressés à l’encontre du retour en politique de l’ex-président, l’un de ses plus proches collaborateurs est décédé. Le couple a assisté à son éloge funèbre.

Depuis son retour annoncé vendredi dernier sur son compte Facebook et sa stratégie de reconquête lancée dès le surlendemain au 20h de France 2, Nicolas Sarkozy a rentré plusieurs difficultés. Mais il s’agit là d’une toute autre épreuve. Le nouveau prétendant à la présidence de l’UMP s’est en effet rendu en compagnie de sa femme à l’éloge funèbre, à l’église Saint-François Xavier à Paris, de son plus proche collaborateur durant ses années présidentielles.

Christian Frémont, décédé le 2 août dernier, a été le directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy de juillet 2008 à mai 2012. Autant dire que ces deux-là se sont suivis pas à pas dans les coursives du palais de l’Elysée et que cette proche collaboration durant quatre ans en a fait des amis intimes et confidents.

Le couple Sarkozy a donc tenu à lui rendre cet hommage, ainsi qu’à ses proches, alors qu’il n’avait pas pu se rendre à l’enterrement du défunt le 7 août en sa terre natale de Dordogne.

Etaient également présents Brice Hortefeux, Rachida Dati, Christian Estrosi et Nathalie Kosciusko-Morizet.Si certains se posent désormais en adversaire politique de l’ancien président de la République, tous ont enterré la hache de guerre afin de se recueillir et saluer l’homme que Manuel Valls qualifie de « grand serviteur de l’Etat ».

Nicolas Sarkozy qui était alors apparu les traits tirés en entrant dans l’église, en est semble-t-il ressorti apaisé. Il s’agissait là d’une épreuve autrement plus douloureuse que les récentes attaques qu’il a subies de la part de ses anciens amis et désormais futurs ennemis.

Ou bien même de l’opposition affichée de sa chanteuse de femme, qui ne cache pas sa colère quant au retour annoncé du politicien à la tête de l’UMP, rampe de lancement pour reconquérir la plus haute magistrature de l’Etat.


Publicité

AJOUTER UN COMMENTAIRE

REGLES D'UTILISATIONS DU FORUM
Publicité