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OLUCOME : La transparence manque dans le secteur minier burundais

Redigé par IGIHE
Le 26 février 2014 à 05:51

Les organisations de la société civile ont un rôle a jouer dans le suivi du Programme d’Initiative et Transparence dans l’Industrie Extractive au Burundi (ITIE). Cette confirmation a été annoncée par Prudence Bararunyeretse, vice-président de l’OLUCOME.
L’Observatoire de la Lutte contre la Corruption et les Malversations Economiques a organisé un atelier de sensibilisation et de formation pour la Société Civile sur le programme d’ITIE. Le but est de sensibiliser la société civile à prendre part dans ce (...)

Les organisations de la société civile ont un rôle a jouer dans le suivi du Programme d’Initiative et Transparence dans l’Industrie Extractive au Burundi (ITIE). Cette confirmation a été annoncée par Prudence Bararunyeretse, vice-président de l’OLUCOME.

L’Observatoire de la Lutte contre la Corruption et les Malversations Economiques a organisé un atelier de sensibilisation et de formation pour la Société Civile sur le programme d’ITIE. Le but est de sensibiliser la société civile à prendre part dans ce programme de Promotion de l’Initiative pour la Transparence dans l’Industrie. Le rôle des acteurs de la société civile est surtout celui de faire le suivi.

Comme l’indique Prudent Bararunyeretse, vice-président de l’OLUCOME, cet atelier est organisé pour conscientiser les organisations de la société civile à suivre de près l’exploitation des minerais au Burundi. Cela surtout en ce qui concerne l’extraction, la vente et ainsi que le sort de l’argent généré par ces minerais au Burundi, ajoute le vice-président de l’OLUCOME.

Au Burundi, le domaine des ressources minières est aux mains d’une poignée de personnes qui sont très haut placées dans les hautes instances du pays. Cette situation est d’ailleurs la raison de l’organisation de cet atelier de sensibilisation et de formation sur l’ITIE. Ce programme d’ITIE une fois mise en application comme il faut permettrait, au « petit » citoyen modeste d’y trouver son compte.

La raison en est que, avec un bon suivi, les dividendes de ce secteur minier ne rempliront plus les poches de certains mais arriveraient aussi au citoyen, éclaircissements donnés par Prudence Bararunyeretse.

Cet atelier qui s’est ouvert ce 26 Février durera deux jours. Dans cet atelier de sensibilisation et de formation sont conviées les organisations de la société civile du Burundi.


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