Seul le dialogue peut remédier aux problèmes de l’UPRONA

Redigé par IGIHE
Le 18 février 2014 à 04:13

Le Président du FOCODE, Pacifique Nininahazwe fait savoir que le Président de la République ne devrait pas faire le sourd d’oreille face à la crise qui règne au sein du parti UPRONA car ces deux partis, constituant le gouvernement du Burundi représentent deux ethnies différentes comme c’est inscris dans les Accords d’Arusha. Selon Pacifique Nininahanzwe les désaccords entre ces deux partis pourraient suscités une certaine méfiance entre les Hutu et les Tutsi.
La crise qui règne au sein du parti UPRONA (...)

Le Président du FOCODE, Pacifique Nininahazwe fait savoir que le Président de la République ne devrait pas faire le sourd d’oreille face à la crise qui règne au sein du parti UPRONA car ces deux partis, constituant le gouvernement du Burundi représentent deux ethnies différentes comme c’est inscris dans les Accords d’Arusha.
Selon Pacifique Nininahanzwe les désaccords entre ces deux partis pourraient suscités une certaine méfiance entre les Hutu et les Tutsi.

La crise qui règne au sein du parti UPRONA s’empire du jour au lendemain alors que ceux qui, récemment nommé pour représenter le parti UPRONA ne sont pas reconnus par les membres du Comité Central de ce parti. Ce qui pourrait susciter un sentiment de non représentativité au sein du gouvernement.

Le Président du FOCODE, Pacifique Nininahazwe

Pacifique Nininahazwe demande au Président de la Republique d’ouvrir un dialogue dans les brefs délais entre ces deux branches du parti UPRONA afin de mettre un terme à cette crise car, comme c’est inscrit dans les Accords d’ARUSHA que toutes les ethnies doivent avoir une place au gouvernement.

Actuellement, le parti UPRONA représente l’ethnie Tutsi mais des problèmes pourraient surgir car certains d’entre eux ne reconnaissent pas les nouveaux représentants du parti UPRONA dans le gouvernement.

Afin ne pas semer un sentiment de discrimination au sein de la population burundaise, Pacifique Nininahanzwe, un des membres de la société civile interpelle le gouvernement de ne pas mettre en avant les intérêts de certains mais de prendre la question en main pour prévenir le sentiment de discrimination qui pourrait prendre place dans le cœur de certains.

Pacifique Nininahazwe revient sur les conséquences des guerres et des tueries qui ont touchés le pays au moment où il reconnaissait un pouvoir dictatorial et demande aux autorités actuelles de ce pays de mettre un terme à un pouvoir de peur.


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