Elle a été ministre à trois reprises et s’était imposé partout où elle est passée.

Ancienne ministre du transport, puis de l’écologie et enfin du travail ; elle accède à Matignon comme une consécration.

Sortie de la prestigieuse école Polytechnique, elle a dirigé la Régie des transports publics « RATP ».

Depuis la Ve République, elle est la deuxième femme à être nommée à Matignon après Edith Cresson trente ans avant.

Etiquetée à gauche, elle est réputée bonne négociatrice par les syndicats.

Elle considérée comme sérieuse et appliquée, ce qui n’est pas un gage de soutien politique quand l’orage gronde.

En qualité de Premier Ministre, le dossier du pouvoir d’achat qui était très présent pendant la campagne devra être une de ses priorités.

La hausse des prix des produits alimentaires, du carburant, l’inflation sont à l’ordre du jour de « l’agenda social ».

Le Président Macron avait déjà promis de se pencher sur un ensemble de mesures pour soulager les ménages modestes à boucler les fins du mois.

Elle a dédiée sa nomination aux jeunes filles en disant qu’elles peuvent y arriver à la force de détermination.